L'Europe Libérale, démolie par les conservateurs britanniques, polonais ou hongrois ?
Curieux paradoxe, alors que c'est à gauche qu'en France l'euro scepticisme à le plus monter, il a toujours été assez vérifier à droite, cela pourrait être la droite britannique ou plus tard la polonaise ou la hongroise, qui lui donne l'estocade ...
L'Europe ou l’anti-keynésianisme.
Inversant les percepts keynésiens, on considéré dans l’UE M que c'est au pays de s'adapter à la monnaie et non l'inverse, et que c'est la compression des dépenses qui fait redémarrer la croissance (théorème d’équivalence de Ricardo barreau) et non la croissance qui fait réduire les déficits...malgré l’échec flagrant de ces politiques notamment en Grèce et plus largement en Europe du sud on persévéré avec un rare zélé, La population se retrouve hésitante entre les eurolâtres considérant que qu'il faut pratiquer à nouveau une fuite en avant, toujours plus d'Europe pour résoudre les problèmes de l'Europe, et les eurosceptiques qui souhaitent casser la machine, ou la quitter, le saut dans l'inconnu...
Cacher ce bilan économique que je ne saurai voir...
Pour justifier de sa sauvegarde, l'Europe n'évoque plus son bilan économise , elle est devenue à long terme un boulet dans la croissance mondiale, mais son bilan politique. Elle aurait permis au continent d’échapper à la guerre depuis 1945, curieux quand on sait que ce sont les américains qui une fois de plus sont venus résoudre le conflit yougoslave, paix à long terme qui n’a été rendue possible que par l'équilibre de la terreur.
D'autres fois elle se réclame de la démocratie, qui pré existe de plus de 2000 ans dans l'histoire depuis Athènes, et alors qu'on évoque de façon croissante son déficit démocratique, quand on voit sa sensibilité au groupes pression, l’épisode des perturbateur endocrinien en est l'ultime navrant exemple, ou cette curieuse façon de faire repasser au parlement par la fenêtre ce qui a été repousser par les électeurs par la porte..du referendum.
Le corset monétaire et budgétaires que s'est infligé depuis 30 ans la France, à réduit sa croissance, dans la folle illusion qu'en adoptant la monnaie allemande, on aurait l'économie allemande. L'affaiblissement économique de la France à fait disparaître le couple franco allemand, laissant à l'économie la plus forte logiquement le rôle politique dominant.
Au total, , l’Europe qui se singularisait des autres économie avancée s’était es États-Unis et le japon, a entrepris une course au dumping social, et au de la de sa singularité.
Le paradoxe sera peut-être que l'estocade sera donné globalement par la droite qu'elle fût aujourd'hui britannique demain polonaise ou hongroise..
La droite britannique, reprochant l'immigration est européenne et les atteinte à la souveraineté, alors qu'en France c'est plutôt la gauche qui à le plus évoluée vers l'euroscepticisme. Si sur les franges les plus à droite on a toujours combattu son caractère consubstantiellement attentatoire à la souveraineté, on y a jamais été sensible au thème de retrouver de la souveraineté grâce à la souveraineté partagée..., à gauche on a longtemps cru qu'après l'organisation ou plus exactement la désorganisation d'un marché déréglementé, on ajouterait le second étage de l'harmonisation sociale et fiscale..progressivement on s'est rendu compte à gauche que ce temps ne venait pas, et qu'il s'agissait d'un marché de dupe . L'économie était en fin de parcours à ce point ouverte à de multiples intervenants disparates que toutes organisations sociales étaient devenu impossibles.
Quand les gauches britanniques polonaises ou hongroises voient globalement dans l’Europe un moyen de sauvegarder une protection sociale dans un royaume uni très travaillé par les forces libérales, ou une Pologne et une Hongrie ou semble remise en cause potentiellement certaines libertés fondamentales, la gauche française y voit au contraire dans l'Europe une contrainte libérale supplémentaire dans un pays très attaché à l'égalité.