PREVISIONS POLITIQUES ET ECONOMIQUES
LES GRAPHES NOUS PARLENT ...
Alors que l'année 2018 s'approche, il est bon de se retourner encore quelques instants sur 2017, qui comme toutes les 1 ère années, n'aura pas démérité de sa réputation d'être difficile à prévoir..avec l'approche du cycle électoral en tous cas.
Disons-le tout de suite, 2017 résiste à toute comparaison directe avec ses semblables politiques (début de mandat républicain) ou de rang (1 ére année d'un mandat d'alternance), aucune de ces conjectures ne présente un profil aussi haussier.
Il faut recourir à des premiers mandats de la fin de années 80 ou du début des années 90 pour trouver des démarrages de mandat aussi haussier...et même là encore, un moment de pause était survenu en fin d'année...
Si on s'intéresse au profils de ces 4 autres débuts de mandat comparables (1985,1989,1993,1997) , on observe qu'ils s'étaient poursuivis en début de seconde année par semblable profil haussier..mais une chute s'était tôt ( mars 1994, août 1990, septembre 1998) ou tard ( octobre 1987) invitée....plus cela sera tard et plus le choc est rude. Il n'y a donc pas grand risque à prévoir un ajustement...il est vrai que les cassandres ont toujours tôt ou tard raison...
Comparaison des prévisions pour le second semestre 2016 et le second semestre 2017.
Comparer ces deux semestres est intéressant, car pour mieux connaître et comprendre les logiques de l'un , il est comme souvent bon de mieux connaître celles de l’autre, sont inverse et son semblable selon les points.
On verra, que si chaque fois que l'automne est une période à surprise, elle ne sont pas du tout de même nature, même le redoutée mois d'octobre peut changer du tout au tout...
Les divergences nous permettent de mieux repérer les points de retournement, les convergences les moments immuables du cycle électoral boursier
Rappelons que globalement ces 2 séquences ne s'inscrivent pas dans les mêmes contextes, globalement récessif pour la fin de la première année, globalement à demi expansionniste pour la fin de la quatrième. Ce sont avant tout des différences de couleurs politiques qui opposent les premières années ( démocrates expansionniste ou républicains plus récessifs), ce sont avant tout des différences de rang de mandat qui différencie la quatrième (croissance un peu déclinante lors d'une alternance après la forte reprise de la 3 éme année pour une alternance, croissante évanescente quand ce n'est pas une franche récession (1960) ou même dépression (2008) qui apparaît pour la seconde. Et pourtant une chose les unies : ce sont des années d’hésitation, quand la deuxième année connaît en son automne une inversion franche avec le début de la reprise, la 3 éme s’inscrivant dans un ajustement après une trop forte estimation de la reprise, les premières et quatrièmes années sont des années interrogations sur le devenir de la croissance.
Les divergences.
L’inversion de juillet-août est plus que jamais au rendez-vous, mais de façon opposée.haussière puis baissière pour les 1 ère année, situation proche de ce qu'on observe en 2 éme et 3 eme année, au contraire la 4 éme année est généralement baissière en juillet, haussière pour août.
L’opposition entre un mois d'octobre baissier en 4 aime, et haussier en première est également intéressante à observer. Là encore , c'est la première année qui fait exceptions, la baisse de la bourse en octobre, comme précédemment en août, caractérise les 3autres années.
Les convergences.
Elles sont presque plus nombreuses,
- Les retournements de juillet et août, puis de fin septembre, même si les inflexions vont alors en sens inverses.
la hausse commune à toutes les années sur les 10 premiers jours d’août, puis le tassement vers le 15-20 août.
La fin septembre, déclinante comme le mois d’août pour la première année, seulement après un pic survenu en cours de mois
A partir de novembre, le rallye de fin d’année avec les baisses de mi novembre et mi décembre.
Christian Guy Juillet 2016
Nous présentons nos prévisions pour le second semestre 2017, peut être un peu éloignées des enjeux actuels, mais qui complète notre étude sur les 6 premiers mois de Trump ou Clinton, ainsi aurait-on la première année, mais surtout intéressantes par la suite pour comparer les logiques à l’œuvre pour cette automne, second semestre d'un quatrième année, par opposition à un second semestre de première année, comparaison que nous feront dans une étude suivante.
Rappelons que globalement la première année est une année politique ou les opposition sont avant tout en fonction de la couleur politique (droite/gauche) alors que la quatrième année se différencie avant tout en fonction du rang du mandat ( alternance opposée à reconduction).
Le second semestre de la première année suit globalement 4 séquences, chaque fois figurées par une flèche noire.
- comme pour les autres années , on observe une opposition entre juillet et août, ce qui signifie qu'à une hausse en juillet qui se prolonge voire se renforce début août, suit un retournement.Il n'y a guère que lors des alternances républicaines, qui s'inscrivent dans un contexte fortement récessif, que le mois de juillet n'est pas haussier.
le second mouvement, haussier en octobre, est lui au contraire exceptionnel, et constitue la singularité de la première année. Cela s'explique par une forte glissade en juillet août, qui demande rattrapage lorsque les républicains sont au pouvoir. Pour les mandatures démocrates s'est une accentuation de la reprise. La hausse d'octobre est en général en forme de cône, c'est dire avec une pointe mi octobre, et deux points bas, le second moins que le premier, aux deux extrêmes du mois.
On arrive enfin à la dernière séquence du semestre qui est une évolution quasi continue à partir de fin octobre, haussière dans le cadre de mandatures démocrates, dans une moindre mesure dans le cas d’une reconduction républicaine, stagnante pour une alternance républicaine, après une année assez baissière depuis le printemps. L'étude détaillée des 16 cas étudiés nous montera que cette évolution continue à partir de fin octobre connaît souvent des point d'inflexion, avec les deux traditionnels repaires que sont la mi novembre et la période début-mi décembre.
Nous présentons à présent 4 type de mandatures, que l'on pourrait classer de celle s'inscrivant dans le cadre le plus expansionniste à la séquence la plus récessive, c'est a dire successivement : reconduction démocrate, alternance démocrate, reconduction républicaine, et enfin alternance républicaine. En annexe, nous produisons et commentons les seconds semestre de première année survenus de 1953 à 2013.
Christian Guy juillet 2016.
Annexe: Historiques des seconds semestre de premières années depuis 1953
CG .Juin 2016
Il est difficile d’établir des prévisions pour les 9 prochains mois car nous sommes dans une situation d’anomalie : la baisse de l’or en 2014 a empêché le différentiel d’être négatif pour la bourse contrairement à ce qu’attendu.
De plus, la piètre année boursière 2015 a inversement empêché le différentiel d’être très favorable à la bourse contrairement à ce qu’on observe à l’accoutumé pour une troisième année de mandat. Qu’en sera-t-il du double mouvement traditionnel de la quatrième année : une évolution normalement favorable à l’or, elle a été forte en février il est vrai, au premier semestre et inversement favorable à la bourse au second ?
Difficile de se prononcer, car quand on quitte les sentiers battus, il est difficile de dire quand on reviendra dans les évolutions plus orthodoxes.
Disons par contre qu’une évolution favorable à l’or du début 2017 à l’été 2018 semble assez certaine tant ce mouvement revient souvent dans l’histoire en 1 ère et 2 ème année de mandature.
Le document 2 nous permet de visualiser les cycles électoraux de l’or et de la bourse depuis 1969, dont la soustraction du premier à la seconde donne le différentiel que nous étudions.
Lors des deux premières années, la bourse pâtit des dégradations souvent observées en début de mandature, à l’exception de celles de reconduction où elle reste bien orienté la première année. Le différentiel quant à lui devient par contre nettement plus favorable lors de la traditionnelle reprise de 3 éme année qui en fait se produit de la fin de la seconde année à l’été de la 3 éme.
C’est cette reprise qui a fait défaut en 2015, la hausse étant ténue. Par contre, le traditionnel « krach » de 3 éme année de reconduction est bien intervenu en aout 2015.
Les peurs sont favorables à l’or, placement de sécurité, et ce placement est alors bien orienté de la fin de la 3 éme année à l’été de la 4 éme.
Un bref retour en grâce de la bourse intervient à partir de l’été de la 4 éme, qui s’interrompt très sèchement à l’extrême fin du mandat. Ainsi ce sera le cas à l’hiver 2017 en cas de mandat de reconduction.
Le document 3 nous synthétise ces évolutions, en nous « débarrassant » des courbes des cycles boursier et aurifère.
L’historique présenté dans les documents 4 et 5 nous montre que le différentiel atteint des niveaux extrêmes de - 40 %, c’est-à-dire un métal jaune qui progresse plus que la bourse (alors en baisse) que dans des situations de crise aigüe : 2003 et la seconde guerre du golfe, 2008 et la crise des suprêmes, 2011 et celle des dettes souveraines…
Nous pouvons également établir des prévisions pour les années 2016-2020 à partir du seul cas précisément similaire, le second mandat de Bill Clinton (1997-2000) qui était un mandat de reconduction démocrate comme l’actuel.
C’était alors un certains G. W. Bush junior qui lui avait succédé, c’est donc alors l’hypothèse d’une alternance républicaine qui est prise pour 2017-2020, mais au demeurant cela ne présente pas de très substantielles différences avec celles plus standards sur 11 mandatures sans distinctions de couleurs politique et de numéro d’ordre de mandat fait au tout début…Tout au plus l'alternance républicaine de G.W. Bush se singularisera-t-elle par une baisse plus durable qu'à l'habitude des marchés financiers, ceci attendant l'arrêt des hostilités en mars 2003 pour repartir à la hausse.
Conclusion
Pour nous résumer, il est préférable de jouer l’or contre la bourse américaine , les 2 libellés en dollar, du début 2017 à la mi 2018.
La situation est plus difficile à prévoir pour 2016, disons que l'on peut peut-être préférer encore l'or pour les semaines à venir jusqu'à cet été, la bourse, si elle a notablement baissé dans les semaines à venir, pouvant être préféré, à partir de la rentrée 2016 et les semaines suivantes.
Avril 2016
Nous effectuons un ‘ rapport d’étape ‘ par rapport à nos prévisions présentées 24/3 le et renouvelées le 19/5
Si les quatre premiers mois de l’année avaient été particulièrement satisfaisants en terme de ‘fiabilité prédictive’ , avec des mouvements de baisse jusqu’en février puis de reprise jusqu’en avril comme prévu ; on a par contre observé une situation de déphasage dans les mois suivants : la progression du dow-Jones de mai à juillet s’est réalisée en opposition à ce qu’on observe habituellement en seconde année de mandature présidentielle américaine.
On observe donc actuellement une correction assez vive de sorte que l’ensemble des gains depuis le 1 er janvier est quasiment effacé. Celui qui aurait quitté la bourse après fin avril conformément à nos prévisions n’aurait pas bénéficié de la hausse des trois mois suivants, mais ne serait pas victimes de la correction actuelle. Cela est encore plus vérifié pour le CAC 40.
Les modèles politico-économiques apparaissent donc à nouveau d’une fiabilité relative à court terme, mais assez satisfaisante à moyen terme.
On ne peut donc que renouveler nos conseils de prudence jusqu’en octobre, conseils que nous avions établis dès mars en indiquant une érosion possible d’avril à octobre, elle aura pris simplement une forme ‘ d’à coup ‘ plus accentuée que prévu. C’est le propre d’évolutions effectives par rapport à des prévisions car ces dernières sont par effet de construction des moyennes ‘lissant’ les évolutions.
Le premier graphique permet de souligner l’ampleur de la correction encore nécessaire dans les prochains mois tant le déphasage était important alors que le second nous montre la similitude de 2014 avec la dernière seconde année de reconduction démocrate qu’était 1998. Quand les creux de seconde année sont plutôt sur le premier semestre lors des alternances, ils se situent plutôt sur le second lors des reconductions.
Christian Guy - 3 août 2014
Une année 2013 en prolongement de 2012, 2014 avec une croissance au zénith avant un tassement en 2015, voilà ce que laisse à deviner de la conjoncture l’introduction de variables politico-économiques dans un modèle de prévisions.
Le 20 janvier 2013 Barak Obama inaugurera son second mandat. A l’aide des autres expériences de seconde mandature démocrate nous pouvons tenter de deviner quels sera le profil général de cette seconde mandature.
Nous testons pour cela un modèle politico-économique sur la période 1949 – 2012. Nous obtenons un coefficient de corrélation 0.73, ce qui veut dire que 73 % des variations sont expliquées.
Nous pourrions bien sur introduire des variables auxiliaires tels les chocs pétroliers ou les crashs boursiers pour élever le taux de corrélations mais notre propos est de nous limiter à ce qui est prévisible avec une certaine avance, si possible de plusieurs années. Le graphique nous montre que si les niveaux absolues sont parfois sur ou sous estimés, les variations, hausses ou baisses , sont en général bien anticipées.
Le tableau des cœfficient nous montre que chacune des années qui composent une mandature présidentielle américaine a sa spécificité.
Les premières années, et 2013 en est une, sont en général sans grand changement par rapport à la précédente. Une progression du chômage l’année précédente ne verra pas d’inversion (2009, 1981).
La deuxième année, et donc 2014, est au contraire celle qui est la plus réactive aux évolutions économiques précédentes et est emprunte de la plus grande variabilité en fonction des caractéristiques politiques. C’est « l’âme » des mandat en cela qu’elle les différencie le plus.
Elle est en opposition avec la seconde année de la mandature précédente. En effet mandat de relance et de refroidissement se succède en général. Plus le PIB aura été en recul 4 ans plus tôt, et plus il sera en progression lors de cet seconde année…pour prévoir 2014 il faut observer 2010, une année assez moyenne…donc tous les espoirs sont permis !
Le fait qu’il s’agisse d’une seconde année de reconduction démocrate (avant dernière variable dans le tableau) impact favorablement le PIB de 3.65 point.
La 3éme année et la 4 émet sont en général assez stables : la première marquée par une progression la seconde par un plateau ou tassement. Elles sont moins dépendantes des évolutions économiques précédentes ou de la couleur politique au pouvoir.
On sait que l’économie américaine est marquée par des cycles d’une dizaine d’année. On retrouve cela dans l’évolution de la 3 ème année : elle sera d’autant plus forte qu’elle inaugure un nouveau cycle de croissance tel en 1983 ou 1995.
La 4 éme année est un peu celle du rattrapage, si la reprise n’a pas été forte en 3 éme année. Ainsi un taux de chômage resté assez élevé en 3 éme année incitera et laissera des marges pour stimuler la croissance la 4 ème.
Cette dépendance de la 4ème année à l’évolution de l’année immédiatement précédente est une limite à notre modèle politico économique qui cherche à utiliser des variables introduites plusieurs années à l’avance. Ainsi ne pouvons-nous pas établir de prévision pour 2016.
Nous avons introduit dans le graphique les prévissions de l’OCDE pour 2013 et 2014, qu’avec modestie notre modèle politico économique confirme.
Si 2013 devrait être en léger retrait outre atlantique par rapport à 2012, 2014 marquerait le retour plus franc de la croissance avant une année 2015 en retrait….
Faudra-t-il alors craindre l’assez traditionnel crash boursier qu’on observe en cour de seconde mandature (1958, 1966, 1974, 1987,1998, 2007) après un croissance au zénith en première moitié de seconde mandature, alors que le cycle de 8-10 ans de l’économie arrive à maturité…c’est à craindre…mais on peut également souligner que le cycle présent à tardé à se mettre vraiment en place, on est loin des redémarrages sur les chapeaux de roues de 1983 ou même 2003.
Concernant la France et l’Europe, compte tenu des difficultés budgétaires et du retard cyclique de 6 mois par rapport aux Etats-unis, ce serait courant 2014, début 2015 qu’ont observerait un pic conjoncturel…mais les pics européens ….sont toujours moins pointus que les américains…
Il est évident que la croissance ne sera pas précisément celle-la car d’autres événements de court terme (cours de matières premières et de l’énergie, conflit) ou de long terme (PIB potentiel) seraient également à introduire.
Christian Guy - Décembre 2012
Faut-il investir sur le S&P 500 ou sur le Dax ?
Préférez les Etats-unis jusqu’à fin 2012, l’Allemagne en 2012-2013 .
Alors que la reprise américaine semble timidement se confirmer, l’Allemagne risque de pâtir de la stagnation de l’Europe, qui constitue son principal débouché à l’exportation eainsi que du tassement prévu en Asie.
A ces remarques ponctuelles, nous pouvons ajouter les enseignements du cycle électoral..car 2012, 4 ème année de mandature présidentielle américaine est normalement favorable aux Etats-unis.
Si l’arbitrage boursier est défavorable aux Etats-unis en début de mandat présidentiel lorsque sont conduites les ‘purges’ de début de mandat, la reprise préélectorale au début de la 3ème année favorise la place américaine. Le différentiel redevient plus favorable à l’Allemagne en fin de 3 ème année lorsque la reprise américaine se propage au reste du monde. Enfin, en cours de 4 ème année, année de l’élection, c'est-à-dire 2012, le différentiel est plus favorable à la place boursière américaine ( document 1 )
Pour vérifier l’intérêt de notre modèle politico-économique, nous nous mettons dans la perspective de spéculateurs qui projetteraient les moyennes établies entre 1957 et 1989 (document 2 ) en fonction du cycle électoral américain rappelé en annexe.
Ils auraient ainsi fait largement plus de gains que de pertes car la qualité des simulations historiques est assez intéressante : on obtient un coefficient de corrélation de 0.40. Il existe des erreurs de prévisions, notamment le pic de fin 2009 - début 2010 favorable aux Etats-unis dans l’arbitrage qui n’avait pas été anticipé. De même, la remontée actuelle s’inscrit avec un certain retard par rapport à ce qui était anticipé.
L’erreur de prévisions de fin 2009- début 2010 possède une explication assez simple : on est alors en mandat d’alternance démocrate, un des rares cas ou la purge est remplacée par une relance et reportée en 3 ème année (2011).
Nous effectuons donc des projections avec un second modèle : les mandats d’alternance démocrate (Obama 2009/2012) sont prévus avec les cas similaires et ainsi de suite ( document 3 ) .
On améliore globalement la qualité des prévisions, car le coefficient de corrélation monte à 0.43, mais les erreurs peuvent devenir comme en 1990 et 1999 plus importantes aussi. Le pic de fin 2009 début 2010 sans être prévu avec l’intensité qu’il aura, est cependant anticipé. Progressivement en cours d’année 2012 l’avantage de la place américaine devrait s’éroder.
Nous donnons également les prévisions pour 2013-2016 selon qu’il s’agisse d’une reconduction démocrate (réélection d’Obama) ou d’une alternance républicaine (victoire des républicains). Dans les deux cas, la place allemande redeviendrait plus intéressante, dés 2013 en cas d’ alternance républicaine, leur politique de purge étant assez prestement conduite ; en 2014 en cas de reconduction démocrate.
Christian Guy – Février 2012
Annexe