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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 18:14

En anticipant sur une baisse des taux les élections passées : 

Spéculer sur les taux d’intérêt réel à long terme dans la zone Euro.

 

 

 

 

          La mise en place de l’Euroland s’est réalisé en 1999 au grand désespoir apparent des spéculateurs : les arbitrages sur les taux de change et d’intérêt à court terme disparaissaient.

 

          Les derniers mois nous ont montré, dans la douleur, qu’il restait encore un angle d’attaque : les taux d’intérêt à long terme, chaque pays membre finançant son déficit budgétaires aux conditions que lui offre le marché, s’est à dire en fonction de sa crédibilité, de la fiabilité de sa signature.

          En fait, c’est à l’occasion de chaque élection que le déficit public augmente et exerce une pression à la hausse sur les taux de long terme. Il est politiquement intéressant de faire bénéficier les électeurs de service ou aides, qu’ils n’ont pas encore à financer par l’impôt, la dette permettant ce report.

 

 

ilt mandat

 

         Nous présentons l’évolution par pays des taux de long terme exprimés en différentiel réel par rapport à la moyenne de l’Euroland sur la période 1999 / 2008. On constatera que dans les trimestres précédents les élections législatives indiquées d’une barre rouge ceux-ci sont orientés à la hausse, à mesure que les finances publiques se dégradent. Les élections passées, on observe au contraire une baisse figurée par une flèche jaune, les gouvernements se livrant à un tour de vis budgétaire et fiscal.

 

 

        Des pays sont assez exemplaires de ces mouvements indiqués d’une flèche jaune, tels la France ou la Belgique. Pour d‘autres il existe des exceptions, en générale décelables à l’avance par un niveau de différentiel d’intérêt déjà très bas, ce qui ne peut qu’enlever toute possibilité de nouvelle baisse   Elles sont signalées d’une flèche mauve.

        On constatera enfin que si la séquence hausse des taux longs avant les élections / baisse celles-ci passées, souffre dans un tiers des cas des exceptions (il n’y a pas de spéculation sans risque), par contre on assiste plus systématiquement aux  traditionnelles  inversions de mi mandat, signalé d’une flèche verte.

 

 

 

                                                                      Christian Guy - Janvier 2011

 

 

                                                                 Annexes

 

 

ilt france

ilt allemagne

ilt autriche

ilt begique

 

ilt espagne

ilt finlandeilt grèce

ilt italieilt irlande

ilt luxemnbourg

ilt pays bas

ilt portugal

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 18:06

 

Taux d’intérêt de la Suisse : hausse dés l’été  2011 et sur l’année 2012,

 baisse en 2013.

 

 

    1) Evolution des taux d’intérêt réel.

 

 

 suisse i réel B

 

          Notre graphique nous présente les mouvements des taux d’intérêt réel  à court terme de la Suisse.

        Nous observons une baisse des taux  l‘année précédent les élections, puis une hausse de ceux-ci une fois les échéances électorales passées. La baisse permet de stimuler l’activité avant la fin du manda alors que la hausse qui lui fait suite aide ‘à réparer les dégâts’, c’est à dire à conjurer les tensions inflationnistes qui pourraient naître du cycle électoral. Les flèches en jaune matérialisent ce double mouvement.

Rappelons que lorsque les taux réels sont déjà tombés très bas, sauf à envisager une rémunération réelle négative, ils ne peuvent que remonter. Ainsi les élections de 2007 ont été l’occasion d’une anomalie, le mouvement ayant été l’inverse de l’habituel.

 

 

 

 

 

   2) Evolution nominale et en différentiel par rapport à la zone Euro.

 

 suisse i histo

 

 

 

suisse i prévisions

 

       Ces deux graphiques plus détaillés soulignent les éventuels décalages, qui ne manquent jamais de se produire avec le cycle électoral.

      Ainsi, si la remontée des taux se produit souvent directement après les élections  (on l’observe en 1999 en 2007), elle se réalise parfois un peu avant, si l’activité était déjà assez forte ou que la conjoncture était inflationniste comme en 1979 ou 1983. Inversement, une activité qui tarde à repartir incitera les autorités à attendre quelques mois après les élections pour entamer la remontée des taux tel en 1975

     Nous observons que le différentiel par rapport à la zone Euro suit ces fluctuations de façon assez proche.

 

 

    3) Que prévoir pour les trimestres à venir ?

 

 

 

       Le niveau déjà très faible des taux ne peut déboucher que rapidement sur une remontée. On dira que ce phénomène est général en ce premier semestre 2011, mais ont peut considérer qu’il sera plus élever en Suisse, laissant apparaître un différentiel positif dés fin 2011 ou au plus tard au premier semestre 2012.

      En terme réel  (déduction faîte de l’inflation) la hausse est probablement déjà à l’oeuvre. Il faudrait attendre la fin 2013 ou la début 2014 pour qu’une baisse devienne d’actualité.

 

 

 

 

                                                                             Christian Guy – Janvier 2011

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 07:00

 

Un modèle de prévision pour l’arbitrage Taux d’intérêt de court terme / taux d’intérêt de long terme de la FED pour 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.

 

 

 

 

 

ict lt modéle

 

        Nous reprenons ici notre habituel modèle de prévisions économétrique (voir prévisions pour les Etats-unis 2010 -2016). Celui-ci est basé sur la distinction en 4 cycles électoraux possibles : alternance républicaine, démocrate, Reconduction républicaine, démocrate.

Notre graphique nous donne les résultats des évolutions passées : les simulations historiques possèdent un coefficient de corrélation de 0.49, il atteint même 0.62 sur la période 1993 / 2010. On peut donc juger ce modèle de prévision comme assez fiable.

        Sur cette base, il est possible de pronostiquer une remontée du rapport taux courts sur taux longs à l’été 2011, peut-être même avant.  Une légère pause environnerait les présidentielles de 2012.

       Une victoire républicaine en 2012 provoquerait globalement des taux courts plus bas, surtout en 2013 et 2014, le début des mandats de la Droite  étant assez récessif. Le rapport attendrait 2015 pour baisser chez les Démocrates…il faut bien enclencher la reprise préélectorale ! . Par contre les taux seraient haussiers en  2016, quelque soit la conjoncture politique  

 

 

 

 

                                                    Christian Guy  - Décembre 2010

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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 19:14

Crédits immobiliers faibles en 2011 2012. 

 

Spéculer sur l’arbitrage taux d’intérêt à court terme / taux d’intérêt à long terme aux Etats-unis

 

 

Jouer la hausse des taux courts à partir de l'été 2011, leur baisse fin 2013 en cas de victoire républicaine

 

 US ict i lt histo

 

us ict ilt prévisions 

          Notre graphique nous présente le rapport taux d’intérêt à court terme / taux d’intérêt à long terme pour les Etats-unis depuis 1953. Pour les personnes souhaitant souscrire un emprunt immobilier à bas prix en 2011 , 2012, , le choix entre taux révisble / taux fixe demane de connaître  l'évolution des taux d'intérêt de court et long terme.

         On sait que les taux courts sont liés à la politique conjoncturelle, corrélés positivement à l’inflation et au PIB Ils sont orientés à la hausse en cas de surchauffe.

         Les taux longs rendent en partie compte de ces évolutions, mais aussi des tensions entre demande de financement (déficit budgétaire notamment) et capacité de l’épargne mondiale.

         Mais nous allons découvrir dans cette étude qu’en relation avec ces facteurs ils sont  fortement lié à la conjoncture politiques.

 

         Lors des mandats d’alternances les différences entre Gauche et Droite sont appréciables. Les Démocrates arrivent au pouvoir dans une période de crise et commencent par relancer la croissance alors que les Républicains y accèdent en période de prospérité et privilégient alors au début une politique de refroidissement.

         Ainsi, les mandats d’alternances connaissent une hausse quasi continue de ce rapport les trois premières années, avant qu’une reprise bien enclenchée et même inflationniste, ne poussent à baisser les taux d’intérêt à court terme la quatrième année.

         Les alternances Républicaines, sont caractérisées par une baisse graduelle de ce rapport, alors que se réduit l’inflation et qu’il apparaît nécessaire de relancer la croissance pour les élections de fin de mandat.

         Les seconds mandats commencent en haute conjoncture, sans quoi il n’y aurait pas d’obtention d’un second mandat…. La croissance est particulièrement prononcée pour les républicains qui avaient entamé  leur premier mandat par une forte récession.  Cette croissance déclinera en cours de mandat à l’occasion d’une crise, souvent brusque, mais qui intervient à des dates différentes. Parfois en début de mandat (crise de 1973), en milieu (récession de 1958, crise du golfe en 90,  ou en fin (crash de 1987, crise de 2008). Ces subites décélérations nécessiteront une chute des taux court plus ou moins précoce.  

         Les reconductions démocrates débutant dans un prospérité plus relative, on observe une hausse des taux courts en deux  reprises, entrecoupées la troisième année par une baisse afin d’aider à la reprise pré électorale.

 

        Que prévoir pour les trimestres à venir ?

 

        Si à ma mi 2011 la reprise préélectorale est bien enclenchée, on devrait voir le rapport taux d’intérêt de court terme / taux d’intérêt de long terme augmenter jusqu’à l’été 2012. En cas de victoire de Barack Obama en 2012, on observerait deux nouvelles poussées de notre rapport, en 2014 et 2016. Par contre une victoire républicaine en 2012 conduirait à une baisse du rapport taux courts/ taux longs dés fin 2013.

  

 

 

                                                              Christian Guy - Décembre 2010.

 

 

 

 

 

 

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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 16:23

Taux d’intérêt aux Royaume-uni :

 forte baisse en 2011- 2012 , hausse vigoureuse  2013-2014 , au-delà si les élections sont repoussés à 2015.

 

 

 RU ILT Historique

 

 

 

RU ILT prévisions

         

 

  Autant il existe des prévisions que nous ne pouvons faire qu’avec circonspection sur la base du cycle électoral, autant la régularité qui caractérise les taux d’intérêt de la Banque d’Angleterre dans leur mouvement électoral nous permet d’établir des prévisions avec un seuil de confiance assez élevé.

          L’historique depuis 1960 nous montre que c’est régulièrement en 3 éme année de mandat alors que se dessine la reprise préélectorale (notée 3 sur le graphique). On sait que le pouvoir britannique choisit en cas de sondages difficiles d’aller au terme du mandat et de ne pas dissoudre la quatrième année, on observe alors un second mouvement de hausse à l’occasion des élections de cinquième année  notée 5.

          Lors des alternances,  notamment de droite, l’arme monétaire est fortement utilisée, le taux d’intérêt réel fortement baissier vient compenser un tour de vis budgétaire particulièrement stricte.

 

         Que prévoir pour les trimestres à venir ?

 

         L’arrivée au pouvoir de la coalition conservatrice libérale conduite par David Cameron, conduira probablement à une forte chute des taux d’intérêt réel. On peut présager pour 2013, troisième année du mandat au contraire une forte hausse. Si les élections se tenaient en 2014 alors l’année 2015 connaîtrait une chute des taux. Dans l’hypothèse ou le gouvernement anglais mal placé dans les sondages choisissait d’attendre l’année 2015 pour la tenue des élections il faudrait s’attendre à une nouvelle hausse des taux fin 2014 début 2015.

 

                                                

                                                     Christian Guy - Décembre  2010.

 

 

  

Toutes les prévisions sont exprimées :

-  en valeurs relatives par rapport aux évolutions mondiales (une hausse prévue signifie une moindre baisse ou une plus forte hausse qu'ailleurs)

-  toutes choses égales par ailleurs  (évènements non prévisibles tels les chocs pétroliers, les crises financières non pris en en compte)

-  la précision visée est semestrielle.

 

 

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8 décembre 2010 3 08 /12 /décembre /2010 19:42

Taux d’intérêt en France et dans la zone Euro : 

 la triple sensibilité aux élections américaines, européennes et allemandes 

 

 

 

 

 

 

 

 

           

 

ilt euro et us

 

 

 

 

            Nous présentons sur le premier graphique l’évolution des taux d’intérêt réels . Pour ceux des Etats-unis, on observe  la hausse  puis la baisse lors des élections présidentielles américaines (mouvements figurés en jaune, en général deux trimestres avant les élections).  Le même phénomène s’observe pour les taux européens à l’occasion des élections allemandes (figurés en vert) et dans la foulée des élections au parlement européen (figuré en bleue). 

           Tous ces cycles ne se reproduisent pas avec régularité. La forte reprise des années 99-2000 a incité la FED à reporter le cycle à l’année suivante. Inversement, les récessions de 1974-75 et 1980 l’avaient poussé à baisser dés le début ou le milieu des mandats les taux, les fins de mandat ne pouvant être alors que l’occasion de fortes hausses. Concernant l’Allemagne, la tenue d’élections anticipées en 1983 et 2005 a rendu aussi breves que ténues ces fluctuations électorales.

           Soulignons que jusqu’en 1980 et à partir de 2005, on observe un phénomène de double conjonction, non pas soleil /  lune (!) , mais élections américaines  / élections allemandes. Ces élections conjuguent leurs effets de baisse puis de hausse. Lorsque ce télescopage chronologique est renforcé par des recésions qui incitent les autorités monétaires à des politiques expansionnistes (1974-75, 1980, 2008) les mouvements de baisse puis de hausse prennent une ampleur élevée.

          La dissolution allemande de 1982 en interrompant un mandat à mi parcours, a fait disparaître pendant 23 ans ce phénomène de double conjonction. Celle de 2005, a réintroduit une certaine proximité dans les dates des élections, elles ne sont à présent plus distantes que d’une seule année.

 

 

 

 

 

 

i lt differentiel

 

 

             Le deuxième graphique nous montre le différentiel entre les taux d’intérêt réels longs de la zone Euro et ceux des Etats-Unis, une donnée positive soulignant des taux plus élevés dans l’Euroland. Cette donnée permet mieux de matérialiser les évolution au cours des mandats, alors que le graphique précédent ne nous rendait compte que des mouvements dans l’environnement immédiat des élections.

         On  observe qu’à une séquence ‘ hausse du différentiel européen en début de mandat présidentiel américain - baisse en fin de mandat’ , a succédé depuis le début des années 90 un mouvement inverse.

         Les élections allemandes et secondairement européennes sont l’occasion d’une hausse du différentiel d’intérêt de l’Euroland.

 

 

 

               Que prévoir dans l'avenir ?

 

                 En terme relatif, ou plus exactement de différentiel, la zone Euro et donc la France connaîtraient un différentiel de taux d’intérêt positif fin 2012, début 2013, puis à nouveau et plus fortement à partir de 2014, chaque fois à quelques mois des échéances électorales allemandes puis européennes. 

                         Il faudrait cependant prendre en cimpte une inconnue de taille: le risque souverain , qui pése sur les taux de long terme.  

 

 

 

                                                   Christian Guy – septembre 2011

 

 

 

 

 

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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 05:51

 

Cours des obligations en 2011, 2012 et 2013:

T.x. d’intérêt des Etats-unis : vers une pahse haussière ? 

 

 

 

                Pévoir à 1  , 2 , 3 ou 4 ans l'évolution des taux d'intérêt n'est pas sans importance, car on sait que le cours des obligations évoluent de façon inverse aux taux directeurs. Au delà des taux d'intérêt ,ce sont donc les cours des obligations pour 2012 ou 2013 que nous tentons de prévoir.

       La séquence 1, 2, P, tel est l’enchaînement qui semble caractériser la politique de la ‘federal reserve bank’ depuis 46 ans.

 

 

us ict prev

 

 

 

us ict histo

 

 

 

 

       Une première hausse des taux directeurs s’effectue au début du mandat, le point d’inflexion se situant en général 4 à 6 trimestres après les précédentes élections présidentielles (verticale en pointillés noirs sur nos graphiques). L’objectif est de lutter contre l’inflation, de conduire un assainissement financier. Ces politiques sont d’autant plus accentuées que le contexte est inflationniste (premier et deuxième choc pétrolier en 73/74 et 80/81),  ou que la relance par laquelle les démocrates inaugurent leurs mandats lorsqu’ils accèdent au pouvoir se révèle efficace (Carter 1977/78, Clinton 1993/94)  risquant de dégénérer en surchauffe inflationniste.

        Ce premier mouvement de hausse des taux de bases bancaires (noté 1) pèse sur l’activité et doit donc céder la place à mi mandat à une baisse car il convient de préparer les élections et ce d’autant comme nous le rappelle l’actualité, que les élections de mi mandat sont en général désastreuses pour le pouvoir en place. La FED, qui n’a pas à rentrer dans ces considérations électoralistes, en tous cas officiellement, peut tirer parti de la baisse de l’inflation qui accompagne en général la récession de début de mandat pour justifier la baisse de ses taux.

        On parvient alors au troisième point d’inflexion, en général à un an de l’élection, figuré dans nos graphiques en pointillés rouges. La reprise est amorcée, il convient d’augmenter pour la deuxième reprise dans le mandat  (noté 2) les taux d’intérêt de court terme pour qu’une croissance du PIB trop forte ne devienne pas inflationniste.

         Un geste est fait à l’approche des présidentielles, figuré par la lettre P. On cesse la hausse des taux d’intérêt, et ce d’autant qu’à partir du courant de la quatrième année la croissance commence parfois à donner des signes d’essoufflement. Parfois,  cette inflexion n’existe pas lorsque la première hausse a été vigoureuse ou encore récente (2003/04).

 

Que prévoir pour les trimestres à venir ?

 

 

         Un coup d’arrêt de la baisse des taux de la FED est bien apparu au début de l’année 2010. Le premier point d’inflexion a donc été respecté. Cependant les interrogations sur une possible crise en W incitent à penser qu’une véritable hausse est à exclure, et ce d’autant que les tensions inflationnistes, justement en l’absence de reprise, ne sont pas fortes.

        On peut donc prévoir  qu'en cette fin 2011 on serait dans une période de hausse...si ce n'était la situation économique dégradée.... 

 

 

                                                                                Christian Guy – Octobre 2011.

 

 

 

Toutes les prévisions sont exprimées : 

-  en valeurs relatives par rapport aux évolutions mondiales (une hausse prévue signifie une moindre baisse ou une plus forte hausse qu'ailleurs) , 

-  toutes choses égales par ailleurs  (évenements non prévisibles tels les chocs pétroliers, les crises financières non pris en en compte),

-  la précision visée est semestrielle.

 

 

 

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Présentation Générale

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