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30 septembre 2018 7 30 /09 /septembre /2018 06:43
Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024

Nous avions déjà évoqué l'intérêt du différentiel boursier 76-58, il est non seulement asse stable dans le temps, dés la fin du 19 éme siècle on peut faire ainsi des prévisions de qualité, mais de plus il dégage des marges de près de 5 ans. Ainsi notre graphique peut aller jusqu'en 2014.

On peut ajouter à cela le cycle de 42 mois, qui améliore encore un peu les résultats.

Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024

C'est ainsi que depuis 1874, on peut à l'aide de ces cycles obtenir des prévisions de qualité. Y ajouter les différentiel économiques examinés début avril n'améliore pas vraiment la performance des prévisions, disons cependant qu'avoir deux indicateurs différent donnant à peu près les mêmes prévisions est intéressant.

Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024
Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024

 C'est surtout sur la période 1874 -1929 que les performances sont intéressantes, montant pour l'addition des deux indicateurs à un r de 0.39.

Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024
Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024

Mais il existe une exception,la période 1948 - 1984. Sont-ce les tensions inflationnistes plus ou moins fortes de l'époque, l'usage intensif de la "policy mix", ou autre politique contra-cyclique, en somme un activisme économique perturbant les cycles traditionnels, ou faut-il voir la toute puissance à l'époque du cycle électoral qui en est la conséquence, toujours est-il que c'est un autre indicateur, la bourse retardé de 52 mois, période bien proche en effet des 48 mois d'un mandat , qui donne les meilleurs résultats.

Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024
Prévisions à 5 ans jusqu'en 2024
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1 avril 2018 7 01 /04 /avril /2018 07:15

Nous avons dans nos diverses études soulignez l'existence de 3 types de prévisions possibles

- Celles à 42 mois , établies à partir du différentiel d'intérêt (ILT-ICT) et du différentiel chômage / inflation (U-inf) retardé donc de 42 mois, on les pondère d'un coefficient 20 pour les premiers 6 pour les seconds afin qu'ils impactent à part égal. Globalement le premier à pour intérêt de réagir fortement, le second de donner assez bien les niveau généraux, grâce notamment au chômage. Pourquoi ce retard à 42 mois ? ...on y voit la trace évidente des cycles de 3.5 ans. 

- celles établies à 21 mois, en ajoutant le négatif de l'évolution boursière retardé de 21 mois. Ici l'impact positif de l'introduction des cours boursiers retardé de 21 mois, est de montrer les correction boursières qui épouse en général ce timming. On prévoit ainsi assez bien les reprises boursières. 

- Celles à 10 mois. On ajoute à celles à 21 mois à nouveau le différentiel d'intérêt et inflation chômage cette fois retardé de 10 mois, ce qui si on prend les délais pour avoir ces statistiques, restreint le champ prévisionnel à 8 mois, si ce n'est 7.

Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir

Avouons le , ce sont les prévisions à 21 moins que nous préférons.

A 10 mois, on est une peu "le nez sur le guidon", il est presque trop tard pour réagir, surtout si on prend en compte l'imprécisions des prévisions...si on prévoit assez bien les périodes de hausse ou de baisse, il est vrai que des retards ou avances apparaissent. Bien sûr , ce sont elles qui ont le meilleur coefficient de corrélation par rapport aux résultats effectifs pour l'ensemble de la période 1879-2018 avec un coefficient de 0.26.

A 42 mois, on a peut-être un avance inutile...qui se paye du prix fort d'une moindre fiabilité, puisque le coefficient de corrélation est de 0.12 pour l'ensemble de la période 1879 -2018. La combinaison de cycle de 42 mois et de cycle électoraux que nous présenterons la semaine prochaine donne de bien meilleur résultats pour une avance comparable voire meilleure.

A 21 mois, on obtient non seulement un coefficient intéressant de 0.22, très proche du 0.24 pour l'ensemble de la période 18979 - 2018,mais  celui-ci peut même être le meilleur comme le montre notre focus pour la période 2013-2018, mais surtout le champ chronologique est suffisamment pour contre-carrer l'imprécisions des prévisions, on ne se fera pas surprendre par une baisse ou une hausse qui surviennent plus tôt que prévu. Sur le plan théorique, il souligne l'impact des cycles de 42 mois, puisque leur seconde moitié à partir de 21 mois inverse la situation antérieure. Remarquons que l'inversion au bout de 24 mois, ce qui rend alors compte du cycle électoral avec des mandat de 48 mois divisé en deux, est intéressante pour les 30 glorieuses, moins ensuite, traduisant un certains effacement du cycle électoral par rapport aux cycles kitchin, du politique par rapport à l'économique...ah, la mondialisation et la financiarisation de nos économies....

 

Nous donnons par la suite les résultats de ces projections.

Commençons par la période 1972 à nos jours.

Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir
Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir
Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir

Poursuivons par la période antérieure 1922 -1972. Période agité, remarquons que la crise de 1929 est assez bien prévue, celle de 1921-22 aussi. Par contre on ne pouvait prévoir l'éclatement de la guerre de 1914 ni celle de 1939, ou l'erreur de la hausse du taux d'intérêt en pleine crise à la fin de 1930 qui fit rechuter la conjoncture mettant à bas une reprise à peine esquissée il est vrai.

C'est surtout le déphasage des années 50 qui doit altérer beaucoup la qualité de nos prévisions, les politiques de stop and go d'alors semblent avoir retardées les évolutions prévues, ajoutant une dizaine de mois par rapports aux fluctuations anticipées.

Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir
Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir
Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir

Pour comprendre le présent, et prévoir l'avenir, il faut connaitre le passé, c'est un peu ici notre devise, et reconnaissons ici que l'étude de la période 1890-1920 est pour beaucoup dans notre connaissance des cycles de 42 mois, nous aidant à les mettre en lumière dans notre période contemporaine. L'introduction de la bourse retardé de 21 moins prend alors toute son efficacité.

Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir
Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir
Prévisions à 42 , 21 ou 10 mois...laquelle choisir
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2 janvier 2014 4 02 /01 /janvier /2014 18:05

graphe 65 janv 2014graphe 63 janv 2014graphe 01 2014

Les cours de la bourse sont bien corrélés à 3 variables retardées d'un trimestre.

La première année d'un nouveau mandat présidentielle américain est assez bien prévue pour les taux d'intérêt à long terme, surtout pour les premiers et second trimestres .

La deuxième année, ce qui nous concerne au plus haut point en ce début 2014, s'explique à la fois par l'inflation et par la croissance. Plus l'inflation sera mâitrisée et plus la bourse sera en hausse .  La deuxième année étant une année d'opposition, ce sont les inverses des taux de croissance qui déterminent la bourse au premier et dernier trimestre de l'année. 

La troisième année peut aussi être prévue par l'inverse du PIB .

Seule année difficile à prévoir la 4 ème année.

 

Les documents précédants nous montrent les taux de corrélation de l'évolution de la bourse en fonction de ces 3 variables retadées d'un an pour 15 mandatures allant de 1949 à 2012, du premier trimestre de la nouvelle mandature noté 1-1 au dernier noté 4-4.

On peut considérer qu'à partir d'un coefficient de coréllation 0.4  (qu'il soit positif ou négatif)la variable est assez stable stastiquement pour être utilisée.

 

 

      

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 12:51

            Janvier 2012 : avant la perte des 3 A , tout commençait si bien.

 

 

        Le mois de janvier 2012 était né sous d'assez bons présages. Le mois de janvier de la 4 ème année d’une mandature présidentielle américaine est traditionnellement positif : il annonce la reprise préélectorale.

 

         Ce mois, comme celui de juillet, est relativement facile à prévoir, car il s’inscrit en réaction face à des situations antérieures. Plus la situation aura été critique entre le 22 ème et le 34 ème mois précédent, globalement les 2 ème et  3 ème année de mandature, plus les espoirs de reprises sont importants.

        Le graphique suivant nous présente les résultats d’une régression multiple visant à expliquer l’évolution boursière du dow jones industriel en fonction de ses données retardées pour les 4 ème année de mandature. 

  

jax 2012 

       On obtient un bon acarctère explicatif avec un coefficient de corrélation de 0.9. La projection donne une progression mensuelle de +0.65 pour janvier 2012. Ce chiffre peut être pour certains décevant. Il s’explique par les bonnes performances boursières de 2010, qui altèrent les capacités de rebondissement en 2012.

 

      Pour tester les capacités prédictives de notre modèle, nous effectuons une régression sur une période limitée allant de 1928 à 1984 afin de prévoir les mois de janvier des années 1988, 1992,1996, 2000, 2004, 2008.

 

 

jax 48 84 

 

       Nous obtenons un coefficient de corrélation de 0.66 pour les prévisions, ce qui atteste de capacités prédictives  correctes pour ce modèle politico-économique.

 

 

                             Christian  Guy – janvier 2012  

 

           Annexes : tableau des régressions linéaires multiples

 

 

                             Tableau de la régression 1928 - 2008

 

 

 

jar tab 1 

 

                               Tableau de la régression 1928 - 1984

 

 jar tab 2

 

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 10:04

2 indicateurs avancés pour la bourse en 2013

 

 

 

 

           Nous avons dans l'étude précédent souligné la forte corrélation qui existe entre l’évolution de la bourse en janvier de la 4 ème année de mandat présidentiel américain (année de l’élection) et celle de la bourse. Le graphique suivant souligne cette forte  corrélation entre l’évolution boursière mensuelle des mois de janvier de 4 ème année et celle des 11 mois restants, évolution que l'on peut observer depuis 1932.

 

 

jav -11 

 

         Deux indicateurs valant mieux qu’un, on peut également se baser sur l’évolution boursière de la 2 ème année. On sait que dans le cadre du cycle électoral américain, une purge (politique restrictive) caractérise souvent la 2 ème année. Plus celle-ci est sévère plus les marges de reprise sont élevées pour la 2 ème année. Inversement, cas de 2010, une reprise la 2 ème année peut constituer un signe inquiétant pour la 4 ème. Le graphique suivant présente ces corrélations assez élevées depuis 1948.

 

 

jav -24 

 

        Nous avons chaque fois effectué une régression sur les années électorales antérieures à 1988 et effectué des projections à l’aide  de ces 2 modèles pour les 6 années électorales suivantes. Les régressions sont données en annexe. On observera la bonne qualité des prévisions ainsi obtenues, le coefficient de corrélation entre prévisions et évolutions effectives étant cependant meilleures pour les prévisions effectuées à l’aide du mois de janvier (0.744) que de la 2 ème année (0.447).

 

 

       Les erreurs sont donc moins marquées pour le modèle établi sur les projections à partir du mois de janvier. On a par exemple en 1988 une parfaite prévision, mais il existe des cas comme en 1996 ou c’est la projection établie à partir de la seconde année qui donne les meilleurs résultats. C'est ce que montre le graphique suivant .

 

 

jav erreur

 

       

        On peut établir une moyenne de ces prévisions, ce qui réduit les risques d’erreur pour une année, sans augmenter la qualité globale des prévisions, le coefficient de corrélation restant de 0.735. C’est cette synthèse des prévisions que représente le graphique suivant.

 

  

jav synt 2

 

 

        Ce qui est le plus intéressant dans la confrontation des 2 projections, c’est d’en établir les différences, car plus elles divergent et plus le risque d’erreur augmente. C’est ce qu’établit le graphique suivant.

 

 jav dif errer

 

                        

 

                    Annexes : tables des régressions

 

         Régression du modèle sur la base de la seconde année

  jav tab -24

 

          Régression du modèle sur la base du mois de janvier.

 

jav tab -11 

 

                                 Christian Guy – janvier 2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 12:12

 

Bourse : le mois de janvier permet-il vraiment de prévoir la performance de l’année ?

 

 

     Parmi les à priori boursiers, il en existe un qui à la peau dur : l’idée selon laquelle les performances de janvier permettraient de prévoir celle de l’année. Comme toutes les idées reçues, il n’y a pas de fumée sans feu….mais elle comporte des exceptions…prévisibles.

 

 

 

1) Il existe bien une relation entre les performances boursières de janvier et celle de l’année.

 

 

 

jar histo 1

 

jar histo 2

 

 

 

      Les deux graphiques précédents permettent de s’en convaincre, la relation entre performance du mois de janvier et de l’année ( en glissement annuel pour le mois de décembre ) existe s’agissant de la bourse de New York, laissant apparaître un coefficient de corrélation 0.33 de 1928 à 2011 et même de 0.48 de 1945 à 2011.

      Lorsqu’il existe un retournement en cours d’année comme en 1973, 1982, 1987 ou 2003, les capacités prédictives sont altérées. La chute de 2008 fût particulièrement bien annoncée par son mois de janvier, par contre la stagnation boursière de l’année 2011 outre-atlantique fût mal prévue ainsi.

 

 

2) le mois de janvier permet de prévoir les performances des 1 ères et 4 èmes années, celles des 2 éme et 3ème sont prévues à l’aide des mois d’avril et mai.

 

       Mais les capacités prédictives du mois de janvier ne sont pas d’égale ampleur. Elles sont fortes pour les premières et dernières années d’un mandat présidentiel  américain, inexistantes pour celles de milieu de mandat. C’est ce que nous montre le tableau suivant.

 

 

Tableau : coefficients de corrélation obtenus par les prévisions selon les  les mois utilisés.

ja correl 2

 

 

      Elles sont à ce point faibles pour les 2 èmes et 3 èmes années, qu’il est nécessaire de choisir pour elles d’autres ‘mois prédicteurs’,

malheureusement plus avancés dans l’année que sont respectivement les mois d’avril et mai. Les graphiques suivants permettent d’apprécier la qualité des prévisions ainsi obtenues, particulièrement conséquentes pour la quatrième année, satisfaisantes pour les 2 èmes et 3 èmes années après correction.

 

jar 1 ére 

 

 jar 2 éme

 

 ja 2 rectif

 

ja 3 em

 

 

ja 3 rectif

 

 ja 4 eme ann

 

 

 

3)Explications.

 

 

     Les 2 émes et 3 émes années sont des années de retournement. Les États-Unis entrent généralement en récession durant la 2 ème année et en sortent en 3 ème, le schéma étant inverse pour les alternances démocrates (2009/2013). Ces changements en cours d’année enlèvent les capacités prédictives de janvier. Inversement, les 2 extrémités de mandat étant plus neutres, elles suivent le flux des années immédiatement antérieures et sont assez stables, janvier possède alors de meilleures capacités prédictives.

 

      Le graphique suivant permet d’observer que la 4 éme année est assez mal prévue par les mois de printemps. Par contre, les mois de juin et juillet sont toutes années de mandat confondues généralement d’assez bons prédicteurs…mais n’est-ce pas déjà un peu tard ?

 

 

ja cycle graph

 

 

Conclusion.

 

     2012 étant une  quatrième année de mandat présidentiel américain, nous pouvons nous considérer comme chanceux, car c’est l’année la mieux prévue par son mois de janvier.

     Cependant,  pour une quatrième année comme 2012, nous pouvons porter attention non seulement ou mois de janvier, mais également plus secondairement au mois passé de décembre et à celui à venir de février. Alors, les régressions effectuées sur les cas historiques font monter les capacités prédictives du modèle à 0.85 ….

 

 

Annexes :  Capacités prédictives des différents mois selon l'année du mandat

 

  

ja par mois 

 

                              Christian Guy – janvier 2012

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10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 07:58

L’utilisation de l’or, de l’immobilier et de la bourse à des fins de prévisions conjoncturelles.

 

Que nous apprennent l’or, l’immobilier et la bourse

pour 2013 ?

 

 

          "Or, immobilier et bourse :  à défaut de pouvoir les prévoir, utilisons-les pour prévoir la conjoncture"  pourrait-on proclamer, car c'est bien connu, quand on ne peut combattre un ennemi, mieux vaut s'en faire un allié .

        Les ennemis du conjoncturiste, "or, immobilier et bourse, la prévision impossible" pourrait-on dire,  peuvent devenir ses meilleurs alliés pour la prévision à une ou deux années...on aura alors plus des tendances que des prévisions exactes.

 

 

         Nous présentons une méthode de prévision à moyen terme à basées sur ces 3 actifs mythiques que sont l’or, l’immobilier et la bourse. A force de tenter de les prévoir, on a oublié qu’ils constituaient de bons instruments de prévisions à moyen terme. L’horizon des prévisions peut être porté à deux ans, si le modèle anticipe des périodes de fragilité, par contre il prévoit mal lesquelles seront les plus marquées…un indicateur de moyen terme  n’est par définition qu’un indicateur de moyen terme…

        Comment expliquer cette capacité prédictive ?

Ils sont en les témoins de problèmes différents : l’or illustre la montée de l’inquiétude et de l’inflation, la bourse est un indicateur de confiance avancé, l’immobilier en est un retardé mais très cyclique, sa déprime d’une ou deux années se mue généralement en reprise à moyen terme.

 

 

 

         De bonnes capacités prédictives à moyen terme

 

 

         En procédant à des régressions de 1956 à 1992 , nous obtenons des prévisions de qualité pour la période 1993-2011 que cela soit pour le PIB, l’inflation, le chômage ou  les taux d’intérêt à court terme. Les capacités prédictives sont particulièrement élevées pour le PIB et le chômage, mais ce sont plus des périodes de plusieurs années de hausse ou de faiblesse que les accidents conjoncturels qui sont bien prévues, même si ceux-ci surviennent dans des périodes de fragilité ou basse conjoncture prévues ( 2001, 2008 ) . De plus, ces projections sont souvent meilleures dans leurs tendances, hausse ou baisse,  que dans les niveaux absolus, on le perçoit notamment pour l’inflation ou le PIB. 

 

       Point fort du modèle par contre, ces prévisions sont établies  à 1 ou 2 ans. Pour les prévisions à 1 an on peut obtenir une amélioration des capacités prédictives en introduisant des variables politiques, à 2 ans l’inconnue sur la nature de la majorité qui exercera la première année du mandat altère les capacité prédictives des variables politiques.

 

 

 

        Nous présentons ci-dessous les projections réalisées pour la période 1993-2011.Les tableaux des régressions ainsi que les représentations sont présentés en annexe.

 

 oripo pib prev glob

 

 

oripo u prev glo

 

 

uo prev glob

 

 

 

oripo inf prev glo

 

 

oripo ict prev

 

 

 

 

                Prévisions pour 2012 et 2013.

 

 

 

 

        La qualité des prévisions obtenues pour la période 1993-2011 incite à espérer qu’il en sera de même pour les deux années à venir

       Nous présentons dans le graphique suivant les prévisions.

 

 

  oripo prev tout

 

       Un synthèse rapide permet de prévoir pour le premier trimestre 2012 une situation difficile marquée par la progression du chômage et un plat dans la croissance, croissance qui semble ici surestimée dans sont niveau. L’inflation et les taux d’intérêt seraient orientés à la hausse. Le second semestre 2012 ainsi que le premier de 2013 seraient plus positifs en terme de croissance et d’emploi, avant que la situation ne se détériore à nous.

 

      La forte baisse de l’immobilier américain brouille beaucoup nos prévisions car utilisant ces statistiques avec 8 trimestre de décalage elles enregistrent les contre  - coups d’une violente crise immobilière il y a deux ans auxquels s’ajoute des cours de l’or durablement élevés…donc prudence dans l’interprétation des résultas d’une méthode qui brille plus par ses capacités de prévision à moyen terme et de variation plus que de niveau.

 

 

 

              Conclusion

 

 

         Notre modèle de moyen terme parvient mal à prévoir les accidents conjoncturels marqués, mais sur le plan théorique, le fait que les récessions (2001, 2008) surviennent à des périodes de fragilités (ou plus précisément de ralentissement prévus) n’est pas sans intérêt. Les tenants de la méthode du cycle électoral y verront la mise en place de mesures restrictives inappropriées (2000-2001, 2006-2007) qui ont précipités des fins de cycles  de croissance.

 

 

                 Christian Guy – Décembre 2011

 

 

Annexes

 

L’or, l’immobilier, la bourse et le PIB  sont en données trimestrielles déflatées, et en glissement sur 1 an.

 

 

oribo PIB

 

 

oripo pib histo

 

  oribo TX u

 

oripo u histo

 

  oribo U o

 oripo uo histo

 

 

oribo inflation

 

oripo infl histo

 

 

 

oripo ict tab

 oripo ict histo

 

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 10:05

Evolution de la bourse

  Que prévoient les indicateurs avancés ?

 

       

 

 

       L’évolution actuelle de la bourse est préoccupante. Il convient de prendre quelque recule en jugeant de son évolution par rapport à des indicateurs avancés.

       On peut prendre pour cela le taux de chômage diminué de l’inflation. Cet indicateur présente un coefficient de corrélation de 0.24 par rapport aux cours de la bourse (1949 – 2011) , ce qui n’est pas très élevé, mais peu d’indicateurs macroéconomiques boursiers à 6 mois affichent un tel niveau.

       Les graphiques suivants permettent de se convaincre de la relative pertinence de cet indicateur, la bourse s’écartant de sa trajectoire au gré d’évènements portés sur les graphiques.

 

 indic préhisto

  indi histo

       

         Comment expliquer la pertinence de cet indicateur ? Les gouvernements doivent arbitrer entre l’inflation et le chômage. Une inflation déjà maîtrisée alors que la trace de l’ancien refroidissement qu’est le chômage est au plus haut, est l’indice qu’un futur redémarrage de l’activité devient possible dans les 6 mois. 

 

 

       De façon plus affinée, nous donnons en données mensuelles les prévisions dans le graphique 3.

 

 indic mens

 

 

       Nous observons que la chute actuelle est conforme à ce qu’annonçait notre indicateur avancé….un début de stabilisation semble se dessiner pour la fin de l’année…

 

 

     Cependant, l’étude des graphiques laissent apparaître des régularités électorales. La bourse a tendance à être en dessous de  ses potentialités, à l’image de la croissance, en début de mandat ( mise en place de politiques restrictives ) et au-delà de ses possibilités, à l’image d’une croissance qui deviendra inflationniste et de la nécessité d’une relance préélectorale, en fin de mandat.

  

 

 indi cycle bo

 

      Ainsi que le montre cette synthèse établie sur 15 mandats depuis 1949 , c’est en 3 ème année de mandature, soit 2011, que la progression de la bourse devrait être au-delà de son niveau potentiel.

      On observera que ce n’est pas le cas à présent, tout comme ce ne le fût pas, mais c’est plus traditionnel, en 2009 - 2010, période de début de mandature. C’est pourquoi il est possible d’espérer un rattrapage, car comme le montre les graphiques, ceux-ci interviennent tôt ou tard…donc gardons espoir pour cet hiver 2011 –  2012… même si la crise actuelle ne peut être pleinement assimilable à un cycle inflation - chômage.

 

  

 

                               Christian Guy -  Septembre 2011

                              Docteur en sciences économiques

                                  Agrégé de sciences sociales

 

 

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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 11:43

13 crashs et reprises depuis 1929

 pour comprendre et prévoir.

 

 

 

         Résumé

 

        Les crises les plus graves, (systémique ou de fin de cycle) surviennent à l’extrémité des mandats, c'est-à-dire au début (1 ère année) ou à la fin (4 ème année). Leur sortie est plus longue, plus incertaine à prévoir, généralement à l’extrémité d’une mandature.

       Par contre, les crises qui surviennent en milieu de mandat, liées à la mise en place de politiques restrictives ou à l’épuisement d’une relance,  sont généralement d’amplitude et de durée moindre. Leurs reprises sont plus intenses et leurs dates plus faciles à prévoir, en quelques mois on a déjà rattrapé  50% des  pertes.

      Faut-il interpréter la chute de juillet août 2011 comme l’essoufflement bénin d’une relance, la reprises viendrait alors assez rapidement, ou comme une rechute de la crise systémique apparue en 2007-2008…dans ce second cas la date de la reprise est à la fois plus incertaine et son intensité sera probablement moins intense 

 

 

 

 

 

             Nous présentons une étude de 13 crashs boursiers survenus aux Etats-unis depuis 1929.

      Pourquoi 13 ? Cela permet de reprendre des crashs différents : baisse subite en une seule journée comme les 24 octobre 1929, 19 octobre 1987, ou 15 septembre 2008 ; phénomène d’érosion continue sur un mois tel en août 2011, ou sur plusieurs mois comme  en 1956, 1980 ou 2000.

      Nous privilégierons comme toujours une analyse politico économique, en interprétant les évolutions en fonction du calendrier électoral, l’objectif étant de repérer des régularités pour mieux prévoir les reprises.

      Seules les crises boursières dont la baisse en glissement annuel à excédée 12 % ont été reprises, ce qui exclus par exemple les baisses de 1949 ou 1998. Ont été également exclus de l’analyse les mouvements apparus durant la seconde guerre mondiale aux dimensions fortement militaire.

 

 

 

 

            I) les crises : les graves à l’extrémité des mandats, les faibles au coeur des mandats.

 

 

       Le graphique 1 nous montre l’évolution moyenne du dow jones industriel de 1929 à 2008 en fonction d’un mandat présidentiel américain. On observe qu’après un pic en milieu de première année, la bourse baisse sous l’impact de mesures restrictives de début de mandat, le point bas étant atteint en fin de seconde année. S’ouvre alors un période de vigoureuse reprise qui s’étend sur l’essentiel de la troisième année, on anticipe la relance préélectorale. Enfin la quatrième année est assez atone. 

 

 

                                        Graphique 1

 

 

mil crash 

 

 

         Nous avons porté sur ce graphique les points hauts de la bourse, par exemple août 1929. A coté de cette date figure l’intensité de la baisse et sa durée avant l’atteinte du point bas. Pour la crise de 1929 particulièrement intense et  longue, ce sont les chiffres  -88,76 % et 34 mois.

        Dans notre présentation, plus la durée de la crise a été longue et plus sa date a été grossie. On observe que ce sont les crises apparues au début d’un mandat (29, 73) ou en fin (80, 2000) qui possèdent les durées les plus importantes. Elles sont éloignées du point de reprise traditionnel qu’est le second semestre de la deuxième année. Elles sont par leur essence plus graves : elles marquent souvent la fin d’un cycle de croissance, de 8 ans en moyenne aux Etats-unis (69, 2000), ou une crise systémique (29, 2007-08).

      Après la durée de la crise, étudions son intensité. Les crises qui surviennent en milieu de mandat, soit les deuxièmes  et troisièmes années, sont non seulement rapides mais en plus de faible intensité.  Leur baisse entre le point haut (début de la crise) et le point bas (fin de la crise) est inférieure à 20 %. Les crises enregistrant des baisses inférieures à 20 % sont colorées en blanc, couleur concentrée sur la seconde année. Ces faibles baisses s’expliquent par le fait que ces crises sont peu éloignées du point de reprise que constitue la fin de la seconde année. Elles sont souvent la conséquence de politiques restrictives de début de mandat (46, 66, 80-81). La couleur rouge qui identifie les crises dont l’ampleur est comprise entre 20 et 30 % montre qu’elles surviennent un peu à n’importe quelle date, à l’exception de la seconde année. Quand aux crises fortes, aux baisses supérieures à 30%, identifiées par la couleur rouge, on observe le même constat que pour la durée : elles sont pour l’essentiel localisées aux extrémités des mandats.

 

 

 

 

 

          II) Les reprises : la seconde année, moment privilégié des reprises vigoureuses.

 

    

     

           Etre proche du second semestre de la seconde année garantie une reprise rapide….mais également forte, c’est ce que nous allons voire à présent.

     Le graphique suivant aborde le problème des reprises, en affichant les points bas, c’est à dire le mois précédant celui d’une reprise des cours.

 

                                      

                                            Graphique 2

 

 mil reprises

 

 

         Sous chacune des dates, après la mention de la durée séparant le point bas du précédant point bas, nous avons porté le nombre de mois nécessaires pour que 33 % de la baisse ait été rattrapés (premier chiffre), 50 % (deuxième chiffre)  et enfin 100 % (3 ème chiffre). Lorsque moins d’une année a été nécessaire pour compenser 50% de la perte, la date de la reprise est figurée en blanc. La couleur jaune est utilisée pour les reprises plus lentes (entre 1 et 2 ans pour reprendre les 50 % perdus) et la rouge figurent les reprises laborieuses (plus de 2 ans).

       La couleur blanche concentrée sur la deuxième année montre qu’une reprise qui s’amorce à cette date sera fulgurante, alors que les reprises de premières et  troisièmes années de couleur jaune seront plus poussives, quand à celle amorcée en quatrième année (1929-32), il valait mieux être patient….

        Les crises les plus graves, nées souvent à l’extrémité d’un mandat, ne trouvent leur réponse qu’à une autre extrémité. La vigueur de la reprise en est directement affectée car on rate le ‘coche’ de la seconde année.

 

 

                          Conclusion

 

 

            L’une des relations mise à jour par notre étude est celle existant entre date de la crise et  date de la reprise : les crises survenant en fin de première année ou au  début de la seconde sont généralement rapidement résorbées. Pour celles présentes aux extrémités, l’issue est plus incertaine.

       Qu’en conclure pour la crise apparue fin juillet 2011 ? Positionnée un an avant, notre optimisme serait presque sans réserve. Mais sa position en milieu de 3 ème année nous invite à exprimer une opinion plus réservée. Elle est voisine d’une crise intense mais rapidement surmontée (1987), mais aussi de la date de son propre début à l’été 2007.

          Alors, faut-il l’amalgamer aux crises bénignes de seconde année ou au contraire à celles systémiques de quatrième ? Faut-il l’interpréter comme un essoufflement assez classique d’une relance de début de mandat, essoufflement intervenant ici assez tardivement mais la reprise le fût aussi, auquel cas l’optimisme est de rigueur ?  Ou faut-il au contraire interpréter la crise de l’été 2011 comme le dernier avatar de la crise systémique entamée en 2007 – 2008, auquel cas la reprise est beaucoup incertaine, tant dans sa datation que dans son intensité.  Telle est la question….qui détermine la qualité des prévisions…

         Sur la plan théorique, l’intensité de la relation mise à jour entre la date de début de mouvement de reprise et son intensité, les reprises de secondes années étant les plus prometteuses, fait qu’il va être difficile pour certains de continuer à proclamer qu’il n’existe aucune relation entre cycle électoral et mouvements boursiers, sauf à faire preuve d’une rare mauvaise foi….et de vouloir passer à coté d’opportunités !

 

 

 

 

                                                               Christian Guy -  Août  2011

                                                                  Docteur en sciences économiques

                                                                                                       Agrégé de sciences sociales

 

 

 

                 Annexes : 13 crises boursières depuis 1929

                                   Indice 100 pour l’année 2005

 

 

mil 29

 

 mil 37

 

 

mil 46

 

 

 mil 56

  

 

mil 62

 

 

mil 66

 

 

 

mil 69

 

  mil 73

 

 mil 80

 

 

mil 87

 

 

mil 90

 

 

 

mil 2000

 

 

 

mil 2007

 

 

 

 mil 2011

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 16:47

 

Une étude rétrospective sur 19 mandats américains 

 

Les débuts de mandat,  période startégique pour prévoir les peformances boursières de l'ensemble d'un mandat.

 

 

 

 

 

        D'ici fin 2012 , la bourse américaine devrait connaître une croissance positive

         

 

 

 

             La période qui s’est déroulée de juillet à décembre 2009 est peut-être passée inaperçue aux yeux de beaucoup, pourtant elle était fondamentale : il s’agissait du second semestre de la première année de mandat de B. Obama.

          Or, une rétrospective historique sur 19 mandatures montre qu’il est rare que la tendance qui se dégage lors du second semestre de la première année n’indique pas ce que sera la tendance moyenne du mandat, mandat qui n’en n’est pourtant qu’à ses débuts…..

        Quelques évidences statistiques pour les incrédules…puis quelques   explications.... et prévisions 

 

 

 

       1) Depuis 1933 la corrélation entre progression de la bourse au second semestre de la première année du mandat d’un président américain et ce qu’elle sera sur l’ensemble de son mandat atteint 0.57.

 

  

 

             Le tableau 1 nous présente les coefficients de corrélation (R2) entre les hausses  de la bourse pour chacun des semestres d'un mandat, au total 8 pour les 4 années que dure un mandat présidentiel américain, et les performances de l'ensemble du mandat. On observera que le second semestre de la première année présente un fort taux de corrélation avec les performances de l'ensemble de la mandature. 

 

 

    Tableau 1 : coefficient de corrélation entre les semestres d'un mandat et la performance moyenne du mandat (1933-2008)

 

7 jui 1-copie-1

 

 

 

              Le graphique nous confirme visuellement la forte corrélation entre la performance de la bourse observée au premier semestre de la première année et la performance sur l'ensemble du mandat.

 

S 2 générale

 

 

 

 

       2) Les prévisions effectuées à l’aide de ce raisonnement atteignent des coefficients de corrélation de 0.64 à 0.98 avec les résultats à prévoir.

 

       Nous avons construit un modèle par la régression des deux séries statistiques précédentes sur la période 1933 -1992. Cette régression  fait apparaître un R2 ajusté de 0.57.  Les projections ou simulations historiques pour les  quatre mandatures  allant de 1993 à 2008 donnent un R2 de 0.64.

       Nous présentons les caractéristiques du modéle  et sa représentation  graphique qui permettent de juger de sa fiabilité. 

 

 

                                          Tableau 2 : Modèle 1

 

7 juill 0.57

 S2 0.57 graphique

                           progression semestrielle moyenne

 

 

      Un second modèle a été construit en ajoutant une variable muette ou ‘dummy’ pour marquer les alternances politiques. 

 

 

                                               Tableau 3 : Modèle 2

 

7 juill 02 

S2 0.70 graphique

 

 

         Notre modèle comme le démontre le R2 de 0.98  est  performant pour hiérarchiser les mandats : ainsi arrive-t-on  bien a  classer dans l'ordre les performances relatives des 4 mandatures allant de 1993 à 2008. Par contre, les prévisions en valeurs absolues sont d'une qualité nettement moindres, notamment pour les deux dernières mandatures.

 

 

       3) Explications....et prévisions

 

      Comment expliquer cette forte corrélation ? Le second semestre de la première année est celui où sont mises en place les politiques économiques…il donne le 'La'…bien sur, elles seront ensuite l’objet d’inflexion, d’ajustement…mais une direction générale est bien donnée.

      Pour rassurer certains, précisons que la progression sur 6 mois du dow jones pour le second semestre de la première année de la mandature de B. Obama a atteint une moyenne mensuelle de 4.25 en ....Cela peut inciter à l'optimisme....exprimons cependant 2 réserves:

       - Il faut prendre en compte que les mandats d'alternances démocrates sont en général marqués par une situation particulièrement positive en ce semestre stratégique. Cette  évolution positive   n'est donc pas aussi prometteuse que si elle avait été observée lors d'une alternance républicaine. 

     - Nos prévisions de performance mensuelles moyennes pour l'ensemble du mandat sont autour de 1.7 pour le premier modèle et de 1.9 pour le second , soit une synthèse à 1.8. En juillet 2011, sur les 30 premiers mois du mandat d'Obama, nous sommes à 1.68 en moyenne. Il y a donc place pour une accélération....mais elle ne serait pas fulgurante.    

       Là encore, rappelons que si nos modèles sont performants pour hiérarchiser les mandats (2009/13 serait un bon crû) ....ils le sont beaucoup moins pour en donner les performances en valeurs absolues...Contentons nous donc prudemment d'indiquer que la fin de mandat serait positive.

 

 

 

 

      4) Des situations à distinguer.

 

 

           Il importe donc d'effectuer les prévisons en prennant en compte la situation  relative du semestre 'stratégique' par rapport aux performances de l'ensemble du mandat, situation qui diverge selon les conjonctures politiques.

          Nous présenterons en annexe les différents cas .

 

      

 

                                             Christian Guy - Juillet 2011

                                                  Docteur  en  sciences  économiques

                                                                                                        Agrégé de Sciences sociales

                           

                                     

 

 

                                              Annexes

 

S2 Republcains

 S2 Democrates

  S2 Alternances

  S 2 reconduc

 

 S2 DA

  

S2 DR

 

S2 GA

 

 S2 GR

 

 

  

 

            

 

                                                

                                                

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