4 avril 2021
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07:08
Nous appelons cycle de 28 ans théoriques, ceux obtenu en additionnant les résultats obtenus par régression des cycles électoraux et kitchin neutre, ici pour la période 1834/2002.
Au contraire, les cycles de 28 ans observés s'obtiennent en additionnant les résultats effectifs de 5 périodes 1834/62, 1862/90, 1890/1918, 1918/46, 1946/2002.
On le constate, il existe peu de différence dans les faits. Disons qu'au deux extrémités, en K1 et K8 les évolutions sont plus accusés dans les faits, en K2 et K3, les cycles effectifs sont plus centré contrairement au léger déport prévus. Dernière différence, à en K6/K7 on a une hausse plus forte observée en K6 et au contraire un déclin plus marqué en k7.....quand on connait l'instabilité de ces cycles, cela n'est guère significatif pour la prévision....
Concernant les capacités prédictives, le théorique est meilleur: ainsi testé sur la période 2002/2019 il dégage un coefficient de corrélation de 0.38 avec les résultats effectifs contre 0.08 pour l'effectif...
Published by Christian Guy
7 mars 2021
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06:35
Les instruments de prévisions dont nous avons vérifiés si souvent l'efficacité au 20 éme siècle, sont -ils également efficace pour le 19 éme ?
Le graphique suivant reprend notre traditionnel différentiel inflation chômage retardé d'un an pour a période 1816 à 1904.
Le résultat graphique est assez flatteur, surtout pour une période assez agité...reste malheureusement que l'on obtient un coefficient de corrélation nul entre prévision et évolution du sp 500 en glissement annuel...
Published by Christian Guy
14 février 2021
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05:40
En apparence, rien n'est moins évident que l'existence d'un cycle trimestriel, comme nous montre cette moyenne des performances par trimestres de 1953 à 2016, en indice et en progression sur 1.5 mois.
Cependant, si on commence par spécifier selon les 4 trimestres possibles d'une année, on commence à voir se déssiner des profils plus parlants.
Ainsi des caractèristiques distinctives semble identifier les différents trimestres d'une année., liés aux espoirs en matières de résultats trimestriel et annuels: les départs assez optimiste du premier semestre, la forme conique parfaite du second, le coté cahotique du 3 éme avec son creux de début aôut, et le rally de fin d'année pour le 4 éme.
Pour aidé à la prévision, on peut égaleme,t distinguer ses profils selon les années d'une mandature présidentielle, ou selon que l'on soit dans un cycle A ou B, deux choses prévisibles.
Published by Christian Guy
24 janvier 2021
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08:16
Nous débutons une série d'étude pour les semaines à venir sur le cycle de 28 ans, celui là même lié au phasage puis déphasage des cycles électoraux et kitchin, ici présenté dans leurs évolutions théoriques (obtenues par leur régression séparées, et non par la moyenne des évolutions effectives observées.
Published by Christian Guy
15 janvier 2021
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08:30
Il est intéressant d'opposer le cycle électoral, assez répétitif, avec des variables retardées d'un mandat (-48) d'un mandat et demi (-72 mois) qui explique positivement les évolutions aux cycles kitchin ( retardé d'un cycle (-42), d'un demi cycle (-21) ou d'un cycle et demi (-63) qui explique au contraire les évolutions par son négatif.
Ainsi en ne prenant que des variables retardés d'un cycle ou de demi cycles, on parvient assez bien à expliquer les évolutions pour la période 1890/2019?
Published by Christian Guy
10 janvier 2021
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11:47
Autant les prévisions avec les cycles A,B sont aisées, autant celle avec les mandats sont instables, tout en étant instructives...
Nous avons tenté d'en alaborer pour la mandature de J. Bidden, dans recourir au cycles ktichin.
Pour la période allant de juillet de la 4 éme année à octobre de la seconde, c'est l'absence d'introduction de véritables variables spécifiques qui est le plus probant, tout se passe comme si les autorités laissaient aller les évolutions naturelles, même si on connait les dilections républicaines pour les politiques de refroidissement et les démocrates pour les politiques de relance....on connait les choix de Bidden en la matière..
Pour la période allant d'octobre de la deuxième année à juillet de la troisième, la reprise sera d'autant plus forte que la maîtrise de l'inflation aura ménager d'importants efforts récessif....enfin la période juillet 3 éme à juillet 4 éme revient à rattraper les évolutions depuis le début de la mandature au moins...les mandats trop expansionnistes se payent alors cher...qui ne se souvient de 2020, covid mis ) part...
On peut ajouter à ces variables économiques électoralisées, le mandat neutre regressé sur la période 1961/2019...
Et voici les prévisions globales, intéressante pour vérifiés les capacités du modèle sur les prévisions rétrospectives de la période 1890/1960..et pour voir que jusqu'à début 2022 la situation est correcte...après l sera préférable de ne jouer la bourse haussière qu'à partir de novembre 2020....
Published by Christian Guy
30 décembre 2020
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09:29
Nous pouvons distinguer 4 profils type quand à l'évolutions des cours boursiers durant une mandature présidentielle américaine.
Mais nous constatons qu'entre les politiques proclamées et les effectives, il y a une certaine distance..il faut bien s'adapter aux conditions.
Dans le tableau suivant nous donnons les coefficient de corrélation entre les différentes mandatures et les 4 profils.
En rouge la corrélation la plus forte, c'est à dire la forme effective du mandat, en gras la couleur politique du président. on voit le peu de corrélation qui existe ente les deux, le pragmatisme l'emporte, ainsi durant la période inflationniste des années 70 l'alternance de droite dominait.
Comme toujours, notre objectif est certes de comprendre, mais également de prévoir.
Nous avons régressé ces différents coefficients sur des variables économiques, 3 sont ressorties particulièrement significatives : la productions industrielle retardée de 52 mois, les différentiels inflation chômage (-34 mois) et d'intérêt (-24 mois ).
Ainsi peut-on prévoir la combinaison des politiques effectives (un peu d'alternance démocrate, beaucoup de républicaine)...avec les doses à l'aide des ces 3 variables.
En multipliant ces coefficients par les 4 profils types, dans leurs doses prévues, chaque mandat étant ainsi un composé des 4 profils ( et en oubliant pas de divisé par l'absolu des coefficients) , on obtient les prévisions suivantes.
Si les mandatures de B. Obama étaient conforme à leur modèle politique (Alternance puis reconduction de gauche), celui de D. Trump. était prévu en fait comme proche de modèle de reconduction (il sera celui d'une reconduction démocrate), le suivant comme proche d'une alternance démocrate...matinée d'alternance républicaine...
Il peut être intéressant d'établir une comparaison de l'évolution effective de ces politiques avec leur prévision.
Published by Christian Guy
27 décembre 2020
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18:39
Les prévisions ciblées, entendons par là adapter à des événements politiques ou économiques prévisibles, ont une porté heuristique certaines, par contre compte tenu des l'instabilité des instruments de prévisions, elles ne parviennent pas à établir véritablement de meilleures prévisions.
Soulignons tout d'abord leurs qualités heuristique certaines, c'est à dire qu'elles nous aide à la compréhension des phénomènes économiques et politiques
Ainsi, les débuts de mandats, c'est à dire les deux premières années d'un mandat présidentiel américains, sont assez sensibles à l'évolution de la rentabilité réelle des actions, aux cycle AB et au différentiel inflation chômage, c'est en effet une période ou les gouvernements doivent lutter contre l'inflation née du cycle expansionniste précédent, ou au contraire contre le chômage qui a souvent contribué à une alternance politique.
Les fins de mandats sont également assez bien prévus par les cycles AB, l'indicateur avancé de l'OCDE, en données négatives retardées de 8 mois est également assez efficace.
Nous avons également observé que la rentabilité réelle est un bon indicateur avancé lorsque la droite est au pouvoir, est-ce liée à une attention particulière aux marchés ?....car cet indicateur est beaucoup moins efficace pour la gauche, voire d'une portée quasi nule.
Les cycles A sont assez sensibles au cycle électoral, ce qui est souvent une caractéristique des périodes agitées, voire récessives.
Les cycles B sont eux sensibles tout simplement ...à eux mêmes, les indicateurs économiques ont moins de prises..cette phase de reprise plus solide qu'après les cycles A est-elle finalement l'objet d'une douce euphorie....ou on se déconnecte des donnes réelles ?
Lorsqu'on récapitule nos indicateurs, sans les différencier, nous obtenons des capacités prédictives de 0.35 pour prévoir la bourse en glissement sur 7 mois de 1965 à 2020.
Quand les deux premières années se distinguent donc par leur sensibilité à l'arbitrage inflation chômage, les années 1 et 4 sont assez sensibles au cycles kitchin alors que la troisième l'est plutôt au cycle électoral.
Soulignons que les distinction découpant le cycle électoral en plusieurs années différentes sont plus pertinentes que celles découpant les cycles kitchin en plusieurs phases différentes qui donnent elles de moins bon résultats.
On peut également opposer les extrémités de mandat sensibles aux cycles kitchin au milieu plus sensibles aux cycles électoral.
Par la suite, nous donnons les prévisions ciblées pour chacune des années.
Published by Christian Guy
20 décembre 2020
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18:38
L'ocde fournit un indicateur composite avancé depuis 1955.
On peut reconstituer les données avant par une régression de cet indicateur sur l'évolution de la production industrielle et celle de la bourse, retardée de 3 mois pour cette dernière, avec un R dépassant 0.8..
Pour les cycles A, le négatif de cet indicateur retardé de 14 mois est assez efficace, pour le cycle B, il faut y ajouter le négatif de cet indicateur retardé de 60 mois.
On peut regretter un recul de seulement 14 mois, soulignons alors qu'on a déjà une assez bonne approche pour les cycles B avec le négatif l'indicateur retardé de 48//62 mois qu'ont peut compléter par des retards de 92//102 mois.
On voit donc que dans le cycle B actuel (septembre 2019/mars 2023) un point haut est prévu pour l'été 2021 et un point bas pour l'automne 2020...rein que de très logique en terme de cycle électoral...
Published by Christian Guy
13 décembre 2020
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06:20
Alors que le cycle électoral présidentiel américains est fort logiquement de 4 ans, depuis le milieu des années 80, il apparaît de plus en plus comme plutôt de 2*2 ans. Un cône émerge régulièrement tous les deux ans. En effet les deux premières années sont de moins en moins marquées par le creux qui les caractérisaient du fait de déclin de l'inflation. Le document suivant oppose le cycle électoral observé de 1946 à 1984, et celui observé depuis lors.
Historiquement, c'est sur le début de mandat que s'observe une grande variabilité, celui-ci est plus sensible aux variables économiques ( Chômage retardé de 48 mois, production industrielle de 58 mois, rentabilité boursière de 42 mois, différentiel d'inflation de 40 mois). Il est également assez affecté par le cycle kitchin, mois par l'électoral, les distinction d'effet de rang (alternance ou reconduction sont également assez importantes).
Par contre la fin de mandat est beaucoup plus satble dans sa forme, avec sa reprise de 3 éme année et son déclin de 4 éme. Moins sensible aux évolutions économiques (seul le taux d'intérêt retardé de 16 mois à quelques effet), elle jouent avant tout à court terme. Il est plus sensible aux variables électorales qu'aux cycles kitchin. Enfin, les 3 et 4 éme années sont assez sensibles aux résidus retardés de 40 et 20 mois des deux premières...la voiture balaie....
Un point commun cependant au début et fin de mandat: les républicains ont un effet dépressif sur les cours boursiers.
Ainsi en spécialisant débuts et fin de mandat, on obtient une meilleure prévisions (0.67) qu'en ne les différenciant pas (0.61).
Published by Christian Guy