3 juin 2018
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Différentiel d'intérêt et d'inflation-chômage retardés de 42 mois combinés a l'évolution annuelle de la bourse retardée de 21 mois....
Un nom un peu compliqué pour un gagnant, mais lorsqu'on évalue les performances prédictives des différents indicateurs que nous avons testés, c'est celui qui ressort avec les meilleurs résultats pour prévoir l'évolution de la bourse américains en progression annuelle.
Il est vrai qu'il existe d'autres indicateurs disponibles, il permettent même de voir plus loin comme nous le rappelle ce graphique, notamment le fameux différentiel sur les évolutions de la bourse retardées de 76 mois auxquelles on soustrait celles retardées de 58 mois.
Mais Testé sur les périodes précédentes, c'est tout de même le différentiel intérêt de court terme - intérêt de long terme, et inflation - chômage retardés de 42 mois, qui donne une assez bonne allure des évolutions générales. Si on y soustrait le négatif des évolutions boursières retardées de 21 moins, on réduit le champ chronologique, mais on obtient une bien meilleure évaluations des fluctuations de court terme. S'il fallait n'en retenir que deux , cela serait le taux de chômage retardé de 42 mois et le négatif des évolutions boursières retardées de 21 mois, avec cela on obtient déjà de bonnes prévisions.
20 mai 2018
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Nous avons déjà par le passé étudié les performances relatives des bourses américaines et européennes. Il faut y ajouter les fluctuations de change pour se faire une idée de la place boursière à jouer.
Cet arbitrage épouse assez bien les formes caractéristiques du cycle électoral des présidentielles américaines avec son point bas en milieu de seconde année, nous n'en somme plus très loin, c'est pour dans quelques mois; et sont point haut à l'été de la 3 éme année soit juillet/ août 2019.
Si les fluctuations de change viennent perturber la régularité de ce cycle, on le voit notamment avec la hausse du dollar au tournant des années 80 et celle de l'euro au début des années 2000, c'est tout de même un cycle assez régulièrement au rendez-vous.
Nous sommes depuis le début de l'année 2018 entrés dans une phase boursière favorable à l'Europe, cela devrait durer jusqu'à l'été, mais ensuite sur la période été 2018 été 2019, le pari serait normalement plus gagnant du coté US....
On voit donc que l'été de la 3 éme année est assez généralement un pari gagnant, mais on peut assez utilement renforcé ses chances en prévoyant la performance de ces différentiel à l'aide de leur variables retardées de 22 mois.
Nous avons ainsi utilisé un modèle ne prenant en compte que les mois de juillet de 3 éme année, en glissement sur un an...on le voit les prévisions établies ainsi pour la période 1999 - 2015 laissent deviner un assez bon coefficient de corrélation, 0.56, et nous donnent pour juillet 2019 un différentiel boursier et de change Etats-unis / Zone euro favorable aux premiers de 8 %
Published by Christian Guy
8 mai 2018
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Nous présentons le modéle, qui tout en restant simple, donne le meilleur coefficient de corrélation, 0.52, pour la période 1986-2022. Il s'obtient en faisant la différence entre les cours de la bourse retardée de 58 et 76 mois.
Comme observé précédemment, ses résultats sont encore positif, mais moins convaincant pour la période 1890-1946, et sont négatif pour celle allant de 1947 à 1985, période ou c'est tout simplement l'inverse de cette soustraction qui donne des résultats corrects, surtout si on réduit le recul.
Published by Christian Guy
6 mai 2018
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Nous avons cumulé, en les retardant de 42, 84,126 et 168 mois les cycles de 42 mois, afin de voir leur évolutions historiques et donc de dépasser de simples accidents conjoncturels.
Nous constatons que les années 1900-1920, 1950 à 1990 ont été des périodes ou les cycles ont eu leur caractéristiques classiques en pointes. Par contre les périodes d'évolutions structurelles particulières, notamment de forte hausse boursières avec les années 20 ou les années 1980- 2000 ont connu une certaines instabilité du cycle, sans parler des périodes exceptionnelles tel la seconde guerre mondiale.
29 avril 2018
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11:48
Nous avons précédemment souligner l'existences de cycles de 3.5 ans ou 42 mois, appelés dans la littérature économique "cycles de Kitchin". Mis en évidence par cet auteur pour la période 1880-1920, surtout pour les 20 dernières années en les additionnant on obtient un cycle de Juglar, Pour ce dernier, ils étaient de 8-10 ans, pour notre part plutôt de 7 ans...mais nous écrivons 120 ans après..l'histoire c'est un peu accélérée..
Montrons à présent, à l'aide de la période allant de septembre 1977 à mars 2002, qu'ils peuvent prendre 4 formes possibles..
Observons tout d'abord, même pour cette période , la forte présence de ce que nous appelons l'effet miroir: c'est à dire que sur les 7 cycles étudiés sur cette période, 4 ont leur seconde partie , les 21 derniers mois , qui est l'envers de la première partie, les 21 premiers, un peu comme si on avait apposé un miroir entre les premières et seconde parties. La droite en pointillé figure la moitié ou serait posé ce miroir fictif. Remarquons que cela se produit dans le cycle interne le plus classique, en pointe, avec 21 mois de hausse et 21 mois de baisse. Cependant , s'il présente une double pointe dans la première période; celle-ci s'observera également dans la seconde, on le remarquera pour la période 1995-3 / 1998-9.
On peut observer 2 autres formes moins répandues.
Cerclé en noir, un cycle baissier commençant par une hausse, la bourse hésite beaucoup, le profil est en dent de scie, finalement elle baisse voire s'effondre dans la seconde période. Cette forme particulière peut être due ) une avance conjoncturel par rapport à nos cycles que nous faisons débuter à date fixes tous les 3.5 ans ou 42 mois depuis mars 1876.
Cerclé en rouge, encore plus rare, le cycle haussier, le début est très bas, voire baissier, la hausse intervient tard, ou est hésitante, parvenu au terme des 21 premiers l'acquis de croissance est encore faible, il reste donc des potentialités de hausse.
On indiquera avec raison, qu'il est toujours plus facile de caractériser un cycle quand il est terminé qu'en cours, tant il existe des synthèses possibles rendant confuses les choses...mais les graphiques suivants présentant l'évolution du dow-jones depuis les années 1890 avec nos cycles positionnés très précisément tous les 42 mois, montrerons que tout de même ils se présentent assez souvent dans des formes proches des 3 présentées precédemment.
22 avril 2018
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L'été meurtrier ?
Traditionnellement l'été à mauvaise réputation en bourse, un été qui débute assez tôt car on conseille souvent de quitter la bourse dés le début mai, si ce n'est fin avril, mais qui s'arrêt assez tôt aussi car cela serai dés fin août qu'il faudrait revenir .
Alors qu'en penser ?
Pour cela nous avons divise les années en 3 périodes, calculant ainsi la performance boursière des 4 premier mois jusqu'en avril compris, puis de mai à août et enfin de septembre à décembre.
En fait, la situation est beaucoup plus contrasté qu'on ne le dit.
La mauvaise réputation de l'été est pleinement justifiée pour la seconde année, en 2018 nous y sommes. C'est même avant qu'il convient généralement de quitter la bourse, le premier creux étant en avril-ami avant qu'un second ne survienne en septembre-octobre.
Le propos gagne déjà à être plus nuancé pour la 3 éme année car le summum est souvent pour début juillet, il est carrément faut pour les 1 ére pour laquelle il peut s'agir d'une bonne période.
On peut enlever des années comme 1987,2008 ou 2009 au profil particulier, cela permet alors également pour la quatrième année en plus de la seconde, de faire apparaître un creux à l'occasion de l'été.
Pour 2018 - 2019, nous observerons que probablement comme à l'accoutumé profiter de la dernière période de la seconde année ( surtout fin octobre à décembre) et du début de la 3 éme ( janvier-mai) est assez probablement gagnant.
Nous présentons ensuite les bilan années par années.
Si la situation de l'été est assez contrasté, c'est l'intérêt à être en bourse assez régulièrement en fin d'année qui domine par sa régularité.
Peu d'exception à des stratégie d'évitement à adopter sur l'été, même si plus finement observé, on observe souvent entre fin juin et début août un rebond.
Les 4 premiers mois , voire plus finement les 7 à ne pas rater...ensuite des secousses tel en 87 ou 2011.
Un 4 éme année traditionnellement en dent de scie on le sait entre une croissance qui devient poussive en fin de cycle électoral et les incertitudes éponymes, c'est en fin d'année, les incertitudes levée qu'il convient de revenir, 2016 en avait été un parfait exemple.
Published by Christian Guy
19 avril 2018
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07:12
A l'aide de modèle que nous expliciterons par la suite, quelques informations dans une période d'incertitudes....tout en sachant qu'il est plus facile de prévoir le long terme que les fluctuations de court terme...
Published by Christian Guy
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dans
prévisions USA
15 avril 2018
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07:02
La futurologie est par nature un domaine un peu chimérique, la part au rêve vis à vis de la quelle on doit savoir raison gardée.
Elle doit être basé sur des faits réels, dont on met en perspective les tendances, sans être bien sur capable de deviner les inversions; les changements de logiques et les impondérables..or la bourse est malheureusement le domaine des impondérables mais aussi heureusement pour nous des tendances de fonds..On sait qu'un événement doit arriver ..mais on ne sait pas quand...donc conscient des limites, presque du coté dérisoire de la choses, lançons nous..
Pour cela , basons nous sur notre modèle électoral neutre, basé sur la seule chronologie d'un mandat, sans distinctions d'alternance ou de reconduction, ou encore de couleur politiques...puisque nous ne connaissons par nature pas les heureux élus à la maison blanche des élections à venir. Ajoutons-y notre cycle de 7 ans , ou 2 x 3.5 ans , qui a prouvé sa robustesse depuis les années 1890.
Nous présentons les résultats de ce double modèle et terminerons par quelques anticipations des décennies à venir....plus par curiosité que par rigueur scientifique...
Et voici le moment un peu loufoque, ou nous utilisons notre modèle pour les décennies à venir, disons que certains évènements politiques pourraient nous aider.
Notre futurologie est donc tirée de chevauchement de cycle boursiers de 3.5 ans et de cycle électoraux de 4 ans.
Ces prévisons auraient d'autant plus de chance de survenir que la mandatures de 2020-24 soit le fait d'un républicain. Le mandat 2024-2028 ferait légérement plus penser, sans que cela soit très marqué à un mandat démocrate, mais cette alternance serait surtout nécessaire pour les mandats 2028-2036 qui font très clairement penser à une double mandature républicaine avec un creux d'alternance marqué et un second mandat démarrant sur les chapeaux de roues.Par opposition les doubles mandatures 2036-2044 sont très clairement d'une double mandature démocrate avec un premier mandat consacré en son début à une foret relance..le second mandat débutant ainsi fait aussi penser à une reconduction....donc si le électeurs voulaient bien trancher ainsi dans les élections à venir, voila qui donnerait peut-être une petite chance à notre futurologie de ne pas être trop risible, examinée dans quelques décennies à venir....
On remarquera qu'un peu comme il y eut la grande peur de l'an 1000, il risque d'y avoir la grande peur de 29...en 2029....on sait les boursicoteurs superstitieux...en l'absence d'avenir certains on se raccroche à ce qu'on peut...
8 avril 2018
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Nous présentons une explications des cours boursiers de 1872 à 2017 à partir du cycle de 7 ans ( ou 2 x 3.5 ans ) et de notre traditionnel modèle politico-économique (distinguant les rangs de mandats et les couleurs politiques)
On le constate , notre modèle est assez performant à partir des années 1890 pour expliquer, et donc prévoir les évolutions. Mais avant de choisir ce modèle appelé par nous "modèle complet" puisqu'il distingue à la fois les alternances des reconductions, et les mandats républicains des démocrates, présentant donc 4 conjectures politiques différentes,nous en avons essayé d'autres, globalement moins efficaces, mais pas toujours selon les périodes...ces différences sont riches d'enseignements historiques.
Nous le constatons, le modéle politico économique complet est donc généralement le plus performant, suivis des cycles de 7 ans, d'ou le choix de leur agrégation pour faire le modèle présenté dans les différents graphiques. Le mandat neutre, c'est à dire qu'il est le même de mandat en mandat sans aucune distinction est en général le mois satisfaisant, la distinction opposant droite et gauche est à peine meilleure. Par contre la distinction alternance et reconduction est bien meilleur, car ces cycles de 2x4 ans, un présidents américains fait souvent deux mandats consécutifs de 4 ans sont finalement bien proches de nos cycles de 7 ans , ou 2 x 3.5 ans, et ce d'autant que le creux conjoncturel marquant le début d'un nouveau cycle de 7 ans, coïncide souvent avec un creux conjoncturel qui conduit une nouvel majorité présidentiel au pouvoir pour 8 ans. Plus anecdotique, on observera la forte variabilité des performances explicatives pour la période 1897 -1922 opposer à leur grande proximité pour celle allant de 1972 à 1997. Enfin, pour nos deux dernières décennies, soit les années 1897-2017,c'est sans conteste de très loin, le cycle de 7 ans qui est la meilleure variable explicative, suivi par vois de conséquences logiquement pour les raisons expliquées précédemment .
Agrégeons les modèles politiques avec notre cycle de 7 ans à présent, nous verrons que leur cohabitation plus ou moins réussie est là encore riche de renseignement.
Nous observons qu'emporté par les performances du modèle reposant sur les cycles de 7 ans, les différences deviennent assez faibles. Surtout, nous observons la bonne compatibilité du mandat neutre avec les cycles de 7 ans...voila qui pourrai nous aider à construire des prévisions de très long terme, car comme le cycle de 7 ans, le mandat neutre peut être construit pour des décennies à venir, car il n'y a pas à connaitre la couleur politique du président américain ni le rang de son mandat...
1 avril 2018
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07:15
Nous avons dans nos diverses études soulignez l'existence de 3 types de prévisions possibles
- Celles à 42 mois , établies à partir du différentiel d'intérêt (ILT-ICT) et du différentiel chômage / inflation (U-inf) retardé donc de 42 mois, on les pondère d'un coefficient 20 pour les premiers 6 pour les seconds afin qu'ils impactent à part égal. Globalement le premier à pour intérêt de réagir fortement, le second de donner assez bien les niveau généraux, grâce notamment au chômage. Pourquoi ce retard à 42 mois ? ...on y voit la trace évidente des cycles de 3.5 ans.
- celles établies à 21 mois, en ajoutant le négatif de l'évolution boursière retardé de 21 mois. Ici l'impact positif de l'introduction des cours boursiers retardé de 21 mois, est de montrer les correction boursières qui épouse en général ce timming. On prévoit ainsi assez bien les reprises boursières.
- Celles à 10 mois. On ajoute à celles à 21 mois à nouveau le différentiel d'intérêt et inflation chômage cette fois retardé de 10 mois, ce qui si on prend les délais pour avoir ces statistiques, restreint le champ prévisionnel à 8 mois, si ce n'est 7.
Avouons le , ce sont les prévisions à 21 moins que nous préférons.
A 10 mois, on est une peu "le nez sur le guidon", il est presque trop tard pour réagir, surtout si on prend en compte l'imprécisions des prévisions...si on prévoit assez bien les périodes de hausse ou de baisse, il est vrai que des retards ou avances apparaissent. Bien sûr , ce sont elles qui ont le meilleur coefficient de corrélation par rapport aux résultats effectifs pour l'ensemble de la période 1879-2018 avec un coefficient de 0.26.
A 42 mois, on a peut-être un avance inutile...qui se paye du prix fort d'une moindre fiabilité, puisque le coefficient de corrélation est de 0.12 pour l'ensemble de la période 1879 -2018. La combinaison de cycle de 42 mois et de cycle électoraux que nous présenterons la semaine prochaine donne de bien meilleur résultats pour une avance comparable voire meilleure.
A 21 mois, on obtient non seulement un coefficient intéressant de 0.22, très proche du 0.24 pour l'ensemble de la période 18979 - 2018,mais celui-ci peut même être le meilleur comme le montre notre focus pour la période 2013-2018, mais surtout le champ chronologique est suffisamment pour contre-carrer l'imprécisions des prévisions, on ne se fera pas surprendre par une baisse ou une hausse qui surviennent plus tôt que prévu. Sur le plan théorique, il souligne l'impact des cycles de 42 mois, puisque leur seconde moitié à partir de 21 mois inverse la situation antérieure. Remarquons que l'inversion au bout de 24 mois, ce qui rend alors compte du cycle électoral avec des mandat de 48 mois divisé en deux, est intéressante pour les 30 glorieuses, moins ensuite, traduisant un certains effacement du cycle électoral par rapport aux cycles kitchin, du politique par rapport à l'économique...ah, la mondialisation et la financiarisation de nos économies....
Nous donnons par la suite les résultats de ces projections.
Commençons par la période 1972 à nos jours.
Poursuivons par la période antérieure 1922 -1972. Période agité, remarquons que la crise de 1929 est assez bien prévue, celle de 1921-22 aussi. Par contre on ne pouvait prévoir l'éclatement de la guerre de 1914 ni celle de 1939, ou l'erreur de la hausse du taux d'intérêt en pleine crise à la fin de 1930 qui fit rechuter la conjoncture mettant à bas une reprise à peine esquissée il est vrai.
C'est surtout le déphasage des années 50 qui doit altérer beaucoup la qualité de nos prévisions, les politiques de stop and go d'alors semblent avoir retardées les évolutions prévues, ajoutant une dizaine de mois par rapports aux fluctuations anticipées.
Pour comprendre le présent, et prévoir l'avenir, il faut connaitre le passé, c'est un peu ici notre devise, et reconnaissons ici que l'étude de la période 1890-1920 est pour beaucoup dans notre connaissance des cycles de 42 mois, nous aidant à les mettre en lumière dans notre période contemporaine. L'introduction de la bourse retardé de 21 moins prend alors toute son efficacité.
Published by Christian Guy
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