Nous avons souvent souligné l'intérêt du cycle Kitchin, du non de l'économiste qui les mis en lumière au début des années 1920, pour l'étude de la bourse. Evoquons ici la forme que trois autres variables épouse alors.
Soulignons tout d'abord à quel point la bourse n''est que l'anticipation de fluctuations économiques plus générales, bien synthètisées finalement dans l'évolution de la production industrielle en glissement annuelle.
Mais chômage et inflation peuvent également bien en rendre compte.L'inflation suit avec un léger retard la conjoncture économique, d'ou le fait que le sommet de celle-ci soit décalé de quelques mois de l'évolution générale, quand à celle du chômage le décalage est encore plus fort , d'ou le fait que le sommet aprarait au début du cycle suivant, donc au début de notre graphique, la période de prospérité le faisant progressivement baisser.
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