Nous avons privilégié jusqu'à présent l'étude des fluctuations boursières en progression sur un an, prévues souvent à plusieurs années.
Mais il peut-être intéressant de disposer d'un instrument doublement plus sensible:
- prévoir les évolutions semestrielles et non annuelles de la bourse.
- le faire à quelques mois d'avance seulement plutôt qu'à quelques années, mais plus finement.
C'est le propos de cette étude, on y retrouvera les avantage et inconvénients déjà dénotés en mars pour la prévisions des progressions annuelles à 6 mois d'avance :
- l'avantage est la grande stabilité de l'instrument, puisqu'il prouve sont efficacité même lorsqu'on remonte jusqu'au dernier quart du 19 éme siècle ! Donc pas de mauvaise surprise d'un instrument qui cesse subitement d'être efficace sans crier gare !
- sa limite est qu'en troccant les prévisions à quelques années pour des prévisions à quelques mois, 4 ici c'était 6 pour les prévisions annuelles, on ne gagne pas vraiment en fiabilité, uniquement en stabilité, même si les coefficient de corrélation entre projection et évolutions effectives sont tout à fait dignes d'intérêt.
Ces prévisions sont obtenues en établissant le différentiel entre les évolutions semestrielles et celles retardées de 2 mois, le tout retardé de 4 mois.