A quelques jours du terme du premier semestre, avant même que les résultats du brexit soient connues, nous effectuons une comparaisons entre les évolutions moyennes des 4 émes années de mandatures présidentielles américaines depuis 1952 (jusqu'à 2012) , les évolutions effectives survenues en 2016.
On obtient un coefficient de corrélation de 0.54, ce qui peut sembler satisfaisant.
La baisse de début d'année à été plus rapide et surtout plus marqué que prévue, ce qui fait que c'est dés le début février que le rebond a eu lieu alors qu'il n'était anticipé que pour mi mars.
Par la suite le rebond jusqu'à fin avril a été bien anticipé, mais si la baisse de début mai à bien été au rendez vous, une reprise avortée est apparue pour le dow-jones ici étudié dés le 20 mai, alors qu'elle n'était prévue que pour le début juin.
Cela confirme que le cycle électoral est un bon indicateur de moyen terme, mais pas de court terme, ou alors en intégrant des fonctions de réactions prennant en compte les derniers résultats effectifs, il y a forcément des imprévus par rapport aux tendances de fonds.
Nous n'avons notamment pas à rougir de honte pour les quatre derniers mois , mars, avril, mai, juin, présentés ici
23 juin 2016 20h41